Les fesses d'Eva L. - 2
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... conseil : — Tu devrais retourner au bar. Elle ajoute : — Ne te laisse pas faire par les clients et leurs mains baladeuses. — Non, bien sûr. Elle ajoute plus bas : — Sauf s’ils te donnent un gros pourboire. Une main aux fesses contre un gros pourboire, c’est ce que je pratique déjà. Je continue à être très troublée par ma nudité, en étant entourée de gens habillés. D’autant plus que ma chatte est terriblement sensible. Je ne dois surtout pas frôler quelque chose, comme me l’a dit Aïcha. J’ai l’impression que mon minou a doublé de volume et je regarde parfois le début de mes petites lèvres, qui saillent d’une façon obscène en haut de ma fente. Je sens d’ailleurs que les bouts de mes seins sont durs et que je suis déjà redevenue humide. Néanmoins, je suis rapidement prise par le service Un homme âgé me donne un gros pourboire en disant : — En te remerciant pour le spectacle. — Le spectacle, Monsieur ? — Ton cul est un ravissement ! C’est fort, ça, un ravissement. Je lui réponds : — Mon cul vous remercie du fond du coeur pour votre générosité. Ça le fait rire. Oh ! Je laisse tomber le billet qu’il m’a donné. Je me retourne et me penche pour le ramasser. Je l’entends murmurer : — Un ravissement... Pour une fille légèrement exhibitionniste, genre « je ne me rends pas compte que je montre tout », c’est vraiment le pied, serveuse nue. Je reçois des pourboires et des compliments, ce qui n’empêche que c’est un travail réellement fatiguant. Je dois servir les touristes en terrasse et ...
... les « locaux » dans le bar. Dehors, il y a des enfants et ça me semble vraiment indécent d’être toute nue devant eux (surtout épilée). Décidément, je n’ai pas « l’esprit naturiste ». Un peu avant minuit, le patron annonce qu’on va fermer. Plusieurs habitués m’embrassent. Quand tout le monde est parti, on doit encore faire la caisse et partager les pourboires. On est trois filles Aïcha, Helena et moi. Nues, on est là à se partager des billets et de la monnaie. Je pense qu’on est un peu comme des putes dans un bordel. Sauf que là, c’est « Madame » qui encaisserait. Les notes du restaurant étant plus élevées, les filles reçoivent de plus gros pourboires, mais les miens sont à peu près équivalents. Elles sont contentes, la fille que je remplace faisait moins. Sans doute ramassait-elle les choses par terre avec moins de… grâce que moi. Je bâille… Ce boulot m’a crevée. On se dit « bonne nuit » et je monte avec Aïcha. Sans me démaquiller, je m’écroule sur le lit. Aïcha me rejoint. Il fait très chaud, sa cuisse moite est contre la mienne. Je m’endors… Je rêve… Chris est habillée de cuir, elle tient un fouet et moi, je pose mes lèvres sur sa botte en bredouillant que je ne fais pas exprès de montrer ma chatte. Le lendemain, je suis réveillée par des bruits d’eau. Aïcha se rince le visage dans le petit lavabo. Je lui demande : — Bonjour Aïcha, bien dormi ? — Salut, oui, merci. Toi, tu as rêvé et même parlé. Ouch ! Qu’est ce que j’ai dit ? J’évite de poser la question, mais elle continue ...