Bas les masques !
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
douche,
volupté,
pénétratio,
init,
aventure,
... hein ! Dans le grand lit à baldaquin, Louise est allongée en plein milieu, les draps remontés jusqu’au nez. Immobile comme une statue, elle fixe le toit du lit. Avec ses cheveux clairs et frisottants sur la taie, c’est l’Infante d’Espagne, sage et recueillie ! Lilly me mène jusqu’au lit et me pousse à m’y glisser. Elle-même enjambe Louise et s’allonge de l’autre côté. Je me fais l’impression du mec qui se retrouve pour la première de sa vie dans un resto chic, face à une ribambelle de couverts différents ! Le plat est devant moi, et je ne sais pas comment l’attaquer ! C’est Lilly qui me sauve, en se coulant contre la cousine, pour l’embrasser dans le cou, la nuque, sur les lobes, les joues. Comme la petite est distraite par cette diversion, j’assure la stéréo, bizouille moi aussi cette peau fraîche, parcours ses joues. Lilly effleure les lèvres palpitantes, je prends le relais pour un baiser à peine plus appuyé, laisse la place un instant à Lilly, reprends la bouche tremblante pour y appliquer un baiser plus chaud, plus entreprenant, plus gourmand. Le drap en profite pour descendre. Je n’insiste pas sur la bouche, mes lèvres glissent dans le cou tendu, s’aventurent vers la gorge dénudée. Lilly vient de faire voler sa nuisette et offre un sein à Louise qui timidement embrasse le téton offert. Si Lilly possède des seins incroyablement ronds comme des fruits juteux, des seins hauts et rapprochés, tendus et fermes, je découvre chez Louise, des petits seins en poire, moins ...
... fermes, moins pleins, mais joliment espacés, une peau laiteuse hérissée par la chair de poule, des tétons tout petits, rosés, pâles. Des petits seins qui ne demandent qu’à être croqués, flattés, caressés, cajolés. Et je ne m’en prive pas ! Sous ma langue, dans ma bouche, les aréoles se contractent, les tétons se dressent, durs, fiers, incisifs ! Les bras le long du corps, Louise a tout de la victime destinée à être immolée sur l’autel du plaisir. Sous mes caresses vagabondes, je sens sa paume s’appuyer timidement contre ma cuisse, sa main se crisper, s’ouvrir pour se refermer ensuite. Alors que les deux femmes se cajolent, que mes lèvres parcourent la gorge nue, ma main continue sa progression, trousse le drap, dévoile le ventre qui se creuse à son contact. Doucement, sans précipitation, mes doigts amadouent le corps de la biche effrayée. D’autres doigts se mêlent aux miens, rampent sur la peau douce. Puisque Lilly assure le relais, j’en profite lâchement pour me débarrasser de mon short et reviens me serrer contre la jeune fille. Mon sexe tendu frotte contre le poignet de Louise qui dans un mouvement réflexe retire d’abord sa main, mais la ramène ensuite. Des doigts timides, malhabiles, effleurent ma verge, l’enveloppe en douceur, provoquant en moi un frisson irrépressible. Lilly la coquine a encore retroussé le drap, un petit buisson clair, joliment taillé en bande verticale apparaît. Je m’attendais à trouver une charmante broussaille, une forêt un peu folle, mais c’était sans ...