1. Bas les masques !


    Datte: 23/06/2018, Catégories: ff, ffh, douche, volupté, pénétratio, init, aventure,

    ... compter avec Lilly : j’avais oublié que la perverse avait pris sa cousine en main ! Notez que je ne m’en plains pas, une bande toute fine, j’aime çà, point-barre ! Mais je suis censé assurer une mission : ma main repousse gentiment mais fermement les doigts un peu trop entreprenant de ma perverse amie. Comme un gamin, je brûle de découvrir la vallée enchantée. Je me découvre une véritable passion pour la géographie ces derniers temps ! Et la topographie est à la hauteur de mes espérances : sous le trait de poils clairs, le pubis forme une petite colline bien renflée que mes phalanges dégringolent bien vite. Elles s’immiscent dans cette vallée encadrée de belles digues, bien formées et saillantes, glissent le long de belles dunes dorées, dodues, vierges de toute végétation. Entre elles, le lit d’une rivière sombre, impétueuse, aux rives submergées par une crue soudaine. L’aventure serait-elle périlleuse ? Prudent, mon index plonge dans les flots, descend le cours mais bute rapidement sur un petit rocher. Le caillou est trop gros pour qu’on le néglige, il faut en prendre la mesure, l’escalader, le contourner, le scanner du bout du doigt. S’agit-il d’un barrage, d’une retenue dans laquelle j’aurais ouvert une brèche ? Les flots en tous cas redoublent, le cours grossit, des tremblements de terre agitent le paysage. Douce Louise… dont le corps tout entier se tend, se relâche pour se tendre à nouveau. J’ai hâte de poursuivre vers les chutes, le gouffre dans lequel la rivière ...
    ... suave se jette, à moins qu’elle n’en surgisse, mais les ondes montantes du plaisir de la petite me retiennent sur le promontoire sensible. Sur mon sexe, les doigts de la donzelle s’accrochent comme un noyé le ferait à un tronc, surtout depuis que je fais rouler la perle délicate entre pouce et index. Ma bouche est revenue sur le sein, fait rouler le téton à l’unisson du bouton. Lilly inflige un traitement identique à l’autre sein, nos regards se croisent et, complices, expriment notre plaisir de voir notre victime consentante se tendre vers l’extase. Sous nos bouches, sous nos doigts, la jeune fille ondule, se cabre, se tend. Il serait bon sans doute de porter l’estocade, mais je veux en savoir plus. Mes doigts glissent dans la fente, abordent l’entrée de la grotte, hésitent un instant avant de s’y glisser précautionneusement. Leur progression est rapidement stoppée, l’exploration bute sur un voile. Le rideau me parait bien élastique, trop peut-être, il ne s’agirait pas d’y rebondir ! Curieux, je voudrais bien explorer encore le rempart mais je crains que cette fouille ne tourne à l’inspection, et ne gêne sa propriétaire. Sans insister davantage, mes doigts reviennent vite se noyer dans la rivière déchaînée. Je roule sur Louise, me glisse entre ses cuisses ouvertes, présente mon chibre heureusement délivré de l’étreinte violente des doigts serrés de la jeune fille. Popaul se présente à l’entrée bâillante du sexe inondé. Doucement, il pénètre l’antre bouillant, jusqu’au cou ...