Bas les masques !
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
douche,
volupté,
pénétratio,
init,
aventure,
... ma verge gonflée. Je me recule rapidement. Puisqu’il n’est pas question de s’envoyer en l’air dans son état… J’ai bien essayé plus tôt, rien à faire ! Autant ne pas donner de fausses joies à Popaul. — Habille-toi un peu, je vais chercher Louise, elle doit avoir faim, elle aussi… J’acquiesce en ajoutant : — Elle a des petits trucs à nous expliquer, mais on verra ça après manger, si tu veux bien. À moins que tu saches de quoi il retourne, auquel cas, on laisse tomber : je ne cherche pas forcément à la mettre mal à l’aise.— Non, je ne sais rien et je suis curieuse de savoir moi aussi. Mais tu as raison, mangeons d’abord. Saucisses, jambons, laitages, fruits, céréales, café, thé, jus de fruits… tout est parfait, sauf les œufs brouillés, cuits et recuits, qui sont immangeables. Notre collation se passe dans la bonne humeur. Louise reste cependant encore un peu plus silencieuse que d’habitude. Rassasié, j’observe mes gazelles : d’un côté, Lilly, terriblement sexy avec sa nuisette diaphane qui ne cache rien de ses seins orgueilleux, et de l’autre, Louise, une veste de pyjama rayé. Rien de très affriolant en soi mais, bien trop grande, la veste flotte sur son corps et laisse entrevoir ses formes au gré de ses mouvements. Et, comme la petite est assise sur une jambe repliée, sa petite culotte blanche est régulièrement visible ! Je lance un coup d’œil à Lilly qui comprend : — Bien, dit-elle en s’adressant à Louise, si tu nous expliquais ta petite histoire ? Mal à l’aise, Louise se ...
... rassied correctement avant d’entamer : — C’est pas ce que vous croyez. Je me suis fait piéger. Au lycée, dans ma classe, il y avait un gars très mignon, un certain Warren, après qui toutes les filles couraient. Il a accumulé les flirts et lorsqu’il s’est intéressé à moi, j’étais tellement heureuse que j’y ai cru, je me suis comportée comme une conne. Un jour, un prof nous avait annoncé son absence. Nous finirions donc deux heures plus tôt le lendemain. Warren m’a demandé alors de le rejoindre au parc. Je l’ai effectivement retrouvé au parc, nous nous sommes planqués dans un bosquet. Là, il a commencé à me caresser, m’a à moitié déshabillée. Et puis, il a ouvert son jean, sorti sa … enfin vous voyez quoi, et il m’a demandé de… de le sucer. Je voulais pas, mais il m’a obligée. Il est devenu violent, m’a giflée, attrapée par les cheveux. Je me suis donc retrouvée à genoux, à moitié nue, et en train de… quand un flic nous a découverts. Vous imaginez la suite, il nous a conduits devant le shériff qui, justement, était l’oncle de Warren : du coup, Warren a expliqué que c’était moi qui l’avait allumé… contre vingt dollars. Voilà, c’est tout, c’est comme ça que je me suis retrouvée fichée. À ce stade du récit, la pauvre gamine pleure : — Le pire, c’est que j’ai aussi été virée du lycée. Pourtant, j’étais bonne élève, j’aurais pu aller loin. Mais bon, de toute façon, même si je n’avais pas été virée, j’aurais pas pu retourner au bahut. Vous vous rendez compte de la honte, de la réputation ...