1. Bas les masques !


    Datte: 23/06/2018, Catégories: ff, ffh, douche, volupté, pénétratio, init, aventure,

    ... que je me trimbalais. D’ailleurs, après, quand j’ai cherché un job en ville, dans cette petite ville de merde, soit je me faisais jeter direct et insulter, soit je tombais sur des salauds qui voulaient profiter de la situation. Et qui me jetaient en m’insultant parce que je ne voulais pas céder ! Lilly s’est levée, et placée derrière le siège de Louise, s’est baissée et enlace tendrement la petite : — Mais c’est arrivé quand tout ça ?— Il y a deux ans environ.— Et alors, depuis, t’es restée à la ferme ?— Qu’est-ce que tu voulais que je fasse d’autre ? Depuis deux ans, je ne sors plus, je ne vois plus personne. Toute façons, les mecs ne pensent qu’à vous sauter, y a rien d’autre qui les intéresse. Enfin, vous comprenez pourquoi ma mère vous a demandé de m’emmener… Me levant à mon tour, je m’approche de la pauvrette, m’accroupis devant elle et lui prends les mains : — Louise, maintenant la page est tournée. Là où on va, personne ne saura rien de ces conneries. Tout ira bien, tu es jolie et tu rencontreras un type bien, gentil et qui te rendra heureuse. Tous les mecs sont pas des salauds, tu verras. Lilly renchérit : — Regarde Al, c’est un type bien ! Et surtout, je veux que tu saches que faire l’amour est normal, c’est génial, rien à voir avec ce que tu as vécu… Louise a l’air à moitié convaincue et, totalement gênée : — Je veux bien te croire, je… Embarrassée, Louise se frotte les mains sur les cuisses : — Je… Vous me promettez de pas vous fâcher ? Aïe, encore des révélations ...
    ... ? Intrigués et nous interrogeant du regard, Lilly et moi tombons d’accord et répondons en chœur : — Promis.— Faut que je vous avoue un truc… Hier… Dans la forêt, je ne me suis pas vraiment éloignée… Je … Je vous ai vus… et j’ai bien compris que… enfin… que ça devait être génial.— Non mais dis donc, petite dévergondée, plaisante Lilly, tu nous as matés ! Hé ben, j’espère que ça t’a fait du bien ! Louise rougit jusqu’aux oreilles, jette des coups d’œil un peu affolés. Sa main droite file même un instant entre ses cuisses, réflexe qui ne laisse aucun doute sur le plaisir qu’elle a dû se donner en nous observant ! Comprenant que je suis de trop désormais, que les cousines ont certainement plein de petites choses à se raconter, je me relève : — Bon, je vous laisse les filles, faut que je réfléchisse à la suite des événements. Installé dans le salon de notre suite, je trace mes plans. Avec d’un côté la tempête tropicale annoncée, impossible de prendre la mer, et avec de l’autre côté, Lilly qui doit être sortie du pays sous deux-trois jours, le Mexique redevient d’actualité. Il va falloir se taper la route en bagnole. Le passage de la frontière sera un peu plus risqué, mais il n’y a pas trop le choix. Mais pour deux millions au bout du compte, on peut prendre quelques risques non ? Je suis plongé dans mes réflexions lorsque Lilly me rejoint. Câline, elle vient ronronner dans mon cou. — Lilly, c’est pas trop le moment. Et puis ne viens pas faire de la retape alors que tu n’as rien à ...
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