Un voyage dans le train de nuit (1)
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... mon cul, lui aussi a joui, heureusement qu’Isabelle lui a mis un préservatif. –Ton sperme est excellent mon cher Paul, j’espère que je pourrais goûter celui d’Yves, j’adore le sperme. –C’est quand tu veux, mais dans un petit moment. Isabelle s’allonge sur le dos, elle écarte les jambes et pose sa main sur son pubis. Un doigt descend entre ses lèvres et en ressort brillant de cyprine. Elle le fait tourner sur son clitoris. Son autre main s’occupe de ses seins. Je veux me pencher pour lui titiller un sein, mais elle me fait signe d’arrêter. –Je veux me faire jouir devant vous, je veux me donner en spectacle, m’exhiber devant vous, le fait que vous me regardiez décuple mon plaisir, regardez simplement. Son doigt s’active de plus en plus vite, il va se lubrifier de temps en temps entre ses lèvres et remonte pour exciter son clitoris. Petit à petit son regard se trouble, sa respiration s’accélère, son ventre se crispe. –Ca va être géant, regardez, je vais jouir devant vous. Le train ralenti un peu pour passer dans une gare, le compartiment s’éclaire, on y voit comme en plein jour, c’est le moment que choisi Isabelle pour exploser dans un gigantesque orgasme. Son corps se cambre, ses fesses sont à quinze centimètre de la couchette, son doigt tourne à une vitesse folle sur son clitoris, elle ne peut qu’exprimer sa joie bruyamment. –AAAAAAAAAHHHHHHHHH oh oui, je joui, je joui, regardez, regardez, aaaaaaahhhhhhhh. Les quelque personnes présentes sur le quai ont dû se demander ce ...
... qui se passait dans ce compartiment. Elle retombe sur sa couchette, son doigt ralenti progressivement pour finir dans sa vulve, accompagné des autres. Je vois sa main s’enfoncer lentement, elle nous regarde, son regard est un peu trouble, sa main continue de s’enfoncer jusqu’à disparaitre. Ses lèvres se referment sur son poignet. –Regardez, ma main, Paul, peux-tu prendre la relève ? –Bien volontiers, mais je vais prendre des précautions. Je prends une capote et l’enfile sur ma main. Elle retire la sienne de son sexe, j’avance la mienne les doigts en pointe et entre en contact avec ses lèvres bien humides. Ma main est plus grosse que la sienne, j’avance lentement. –Oui, vas-y, ne t’en fais pas, je me fiste régulièrement. –Oui, mais ta main est plus petite. –Oui, mais je suis super excitée, vas-y franchement. Je pousse, son vagin résiste de plus en plus, je m’arrête quand j’arrive au bout des doigts, elle le sent, s’empare de mon bras et se l’enfonce entièrement. Ma main est absorbée par son vagin, je pénètre jusqu’au-delà de mon poignet. J’hésite un peu, mais elle ne me lâche pas le bras et se pistonne la chatte comme avec un gros gode. –Oui, j’aime, sert ton poing. Je sers mon poing, je sens que sa paroi interne est plus tendue. Serré, mon poing doit bien faire ses dix centimètres de diamètre, je présume qu’elle le sent passer. Elle accélère ses va et vient. –Voilà, c’est comme ça qu’il faut faire, à toi. Elle me lâche, je maintiens le rythme en accentuant le plus possible ...