1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -3


    Datte: 23/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... chevelu. Ce parfum me rassure et me fait sourire. Je me trouve idiot de me mettre dans tous mes états, systématiquement, dès qu’Eric me manque. Je me trouve idiot d’être en manque de lui dès qu’il s’absente un court instant ! Mais je n’y peux rien, telle est ma vie depuis qu’IL a choisi de me posséder. Sans mon Maître, je ne suis plus rien. C’est un fait.Je ferme les yeux, puis non, je les ouvre à nouveau, de peur que mes pensées ne deviennent trop sexuelles. J’ai appris à me connaître, et je sens, là, que je pourrais jouir, sans me toucher, rien qu’en imaginant Eric chez lui, c’est-à-dire en moi. Du reste, il m’arrive, de temps à autre, de jouir par surprise, sans raison apparente, hormis le fait que soudain je bande, puis éjacule dans la foulée. C’est parfois gênant, mais ça fait rire Eric ! En vérité, le trop-plein d’excitation, de tension sexuelle en moi, le désir quasi permanent que je ressens pour mon Maître, s’évacuent le jour, la nuit, quand IL me baise, mais aussi entre deux saillies, par inadvertance. Sincèrement, je jouis d’abord du cul, il n’y a pas de plus grande joie pour moi que de me faire défoncer par Eric, le plus fort et le plus longtemps possible. Cette jouissance, d’une intensité rare, dépasse toutes les autres ! Aussi, mon Maître, tout en me baisant, m’ordonne rarement de me branler. Et m’interdit de le faire hors de sa présence. Résultat : j’ai une faible maîtrise de mes éjaculations ! Bah, comme toujours, Eric a trouvé la solution. Si nous devons ...
    ... nous rendre dans sa famille, dans la mienne (ou même ailleurs), il prend les devants pour m’empêcher de jouir inopinément. Avant de sortir, il me débraguette, et, d’une main, me branle lui-même avec vigueur. Il recueille mon sperme dans l’autre main (je jouis vite, flatté de l’attention d’Eric à mon endroit) puis me donne à lécher sa main, m’envoie nettoyer ma bite, me fait revenir afin de vérifier sa propreté, la remet lui-même en place, me rebraguette, et me claque le cul, tout en disant : « Bon petit chiot, va ! »Là, nu sous la couette, étendu sur le dos, je laisse mon esprit vagabonder. Je pense à mille choses de notre quotidien, mille choses, apparemment banales, mais qui assoient l’emprise de mon Maître, et nourrissent mon amour pour lui. Par exemple, et dans le désordre :1) Un vendredi par mois, nous faisons des achats de vêtements, de livres, de disques. Alors, j’aime l’attitude protectrice d’Eric, la façon qu’il a de poser la main dans mes cheveux, sur ma nuque, au bas de mon dos, j’aime qu’il m’appelle « bébé » devant les vendeurs, sans gêne aucune, et j’aime qu’il décide de nos achats. C’est d’ailleurs sans risque ! En matière de livres ou de disques, il connaît mes goûts, sait pertinemment ce dont j’ai envie ! Moi, je prends plaisir à chercher, à lui montrer certains ouvrages dont je pense qu’ils pourraient lui plaire, et je tombe souvent juste ! Concernant mes vêtements, ses préférences sont devenues les miennes. Je n’ai d’autre but, depuis six ans, que de mettre, ...
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