1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -3


    Datte: 23/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... tendre aussi, mon Maître commence de la glisser en moi. J’essaie de m’ouvrir le plus possible afin d’accueillir cette merveille. C’est toujours un peu douloureux quand le gland, énorme, force le passage, et je serre les dents. Mais tout coulisse et me remplit bientôt. Mon Maître en profite pour soulever mes jambes et poser mes chevilles sur ses épaules. Puis, il avance le buste vers ma poitrine, vers mon visage, pliant mon corps en deux, s’enfonçant plus encore en moi, dilatant mon cul de ce fait.« Tu la sens bien ? » dit-il en bougeant latéralement pour mieux m’ouvrir.« Oh oui ! »Il pose alors ses bras de part et d’autre de ma poitrine, et commence de me bourrer, tout de suite fort, comme il aime et comme j’aime, de sorte que je mords mes lèvres pour ne pas crier, que je m’accroche encore plus aux draps... Cinq ou six percussions suffisent à me faire chavirer, à ce que mon trou, le fond de mon trou soient parcourus de décharges, à ce que le plaisir me prenne. J’accompagne avec ardeur, avec appétit les mouvements de hanches d’Eric. Je me colle à sa bite, je la veux dès qu’elle me quitte un dixième, un centième de seconde, j’ai besoin qu’elle me pilonne et me démolisse, j’ai besoin de sa suprématie ! Tout en me perforant, mon Maitre a planté ses yeux dans les miens, et ne les lâche pas. Son regard, fort, dominateur, me rend minuscule, heureux d’être un esclave, d’être SON esclave, SON trou, SON jouet sexuel ! SA propriété de la tête aux pieds !« Putain, quelle chienne ! » ...
    ... s’écrie Eric en se déchaînant, plus bourrin que jamais.Le pantalon, le boxer baissés, la chemise entrouverte, mais toujours habillé, en chaussures, mon Maître me démonte avec autorité, puissance et régularité. Il pousse une sorte de rugissement, de grognement à chaque nouveau coup de bite, il fait trembler le lit, plaque ses mains sur les miennes et les serre si fort que j’en beugle de surprise. Il me crache à la figure et me sourit de son sourire de Mâle, celui qui signifie « Tout de toi m’appartient ! Tout ! » Moi, je me mords les lèvres, je gémis… je ne veux pas crier, pas encore, pas toujours !... Soudain, je deviens la proie d’un plaisir à la fois énorme et terrible. Mon cul, laminé, fouaillé, n’en peut plus d’être si bien rempli, mais ma bite, sans prévenir se met à jouir, sauf qu’elle ne jouit pas, qu’aucun foutre n’en sort, et que sa rigidité me fait souffrir, tout en me faisant du bien puisque j’ai l’impression, plus que réelle, d’éjaculer ! Cela dure de très longs instants (peut-être des minutes ?) et je ne sais plus où j’en suis, mon esprit se disloque, je ne vis plus que dans mon trou du cul (lequel a pris la forme, parfaite, de la queue de mon Maître !), et puis, aussi, je vis au creux de cette sensation, folle et douloureuse, que j’ai d’éjaculer, sans discontinuer, sans même que ma bite mouille. Je pense que je crie, oui, puisque mon Maître m’injurie de plus belle, et accélère, amplifie ses coups de bassin, et me baise jusqu’à la garde, et me soumet de son regard ...
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