J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -3
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
... sévère ! Quand il m’inonde de foutre, que je le sens jouir en moi (je l’avoue, je ne perçois pas toujours ses jets de foutre) alors je hurle, car tout ça était trop bon, si fort, si intense, qu’il fallait que ça cesse, oui, car j’allais y rester si ça ne s’arrêtait pas, si je continuais d’éprouver un plaisir si fou !Mon Maître sort sa queue de mon cul, et s’effondre sur moi, lourd et repu. Ecrasé sous sa masse, je recouvre peu à peu mes esprits. Ma queue, toujours bandée, cesse lentement de m’élancer.« Putain, quel pied ! Je t’aime, ma lope ! » glisse Eric à mon oreille.Nous restons l’un sur l’autre un bon quart d’heure. Eric ronfle un instant, puis soudain se redresse, voit que je bande encore, me sourit, puis me lance :« A genoux, bébé ! Nettoie-moi la queue ! »J’obtempère. A coups de langue, je nettoie tout, la mouille, les restes de foutre… J’avale même un peu de gel.« J’ai envie de pisser ! »Ca tombe bien, je mourais de soif. Donc, j’avale, heureux, appliqué, la pisse de mon Maître. Celui-ci bientôt se lève, m’ordonne de ranger sa queue dans son boxer, de remonter son jean, de fermer sa braguette, de reboutonner sa chemise, et de me rhabiller.Nous descendons dans la cuisine, avalons lui une pomme et moi une banane (il est normal, d’après Eric, que ce soit le fruit que j’aime le plus !) regardons l’heure (16 heures 30), et prenons un Coca. Mon Maître renifle ses aisselles.« Je sens le fauve, mais tant pis ! Ce sera tout bénef pour toi, Guillaume, à mon retour ! Bon, ...
... j’ai deux trois trucs à faire à l’imprimerie, je serai de retour à dix-huit heures ! Prépare-toi, bébé ! »Il me roule une pelle, et s’en va.Dès son départ, je vais dresser la table pour le dîner, puis monte me doucher, me laver l’intérieur du cul (je garderais bien le foutre d’Eric, mais il m’aime propre comme un sou neuf), me sécher, refaire notre lit, et choisir le tee-shirt que je porterai. Ce n’est pas difficile : j’ai vingt-neuf tee-shirts moulants, tous de couleur bleue, où il est écrit devant : « Propriété d’Eric » et derrière : « Fou de mon Maître ». J’enfile donc un tee-shirt et les chaussures de foot, à crampons, qu’Eric aime me voir aux pieds. J’ai les jambes et le cul nu, comme souvent. Je m’y suis fait, j’aime ça !Je descends dans le salon, pose un verre à pied sur la table basse, et, à côté du verre, mon collier de chienne et sa laisse.Tout semble en ordre. J’ai un peu de temps devant moi. J’en profite pour reprendre la lecture d’une biographie de Virginia Woolf. Je suis bien, les minutes s’écoulent…A dix-huit heures, comme prévu, Eric pénètre dans la maison. Je pose mon livre à terre et m’agenouille devant le canapé. J’entends mon Maître déposer son caban sur une chaise, dans l’entrée. D’un pas vif, il me rejoint.« Bien, bébé ! »Il met le collier autour de ma nuque, et y fixe la laisse. Puis m’autorise à me relever.« Allez, petite chienne, à la pisse ! »Il m’entraîne vers la salle d’eau du rez-de-chaussée. Je m’agenouille devant les toilettes, ouvre la braguette ...