1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1053)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Allemagne. L’audition se passait à Berlin. Je m’y rendais, avec mon père qui conduisait la voiture. Un accident avec cette voiture m’y fin à ma carrière, je me suis retrouvée blessée à hauteur du genou, et cette blessure mis définitivement fin à la danse. - Merci de cette précision. As-tu d’autre qualité cachée ? Tu ne dois rien me taire, tu le sais ! - Oui, Maître. J’ai fait aussi de la musique, Maître. - De la musique ! Sois plus précise. - Oui, j’ai aussi fait de la musique pendant ma scolarité à l’Opéra. - Et où donc ? - Au Conservatoire National de Musique à Paris, Maître ! - La Musique, c’est vaste, petite salope ! - J’ai fait du piano, Maître ! - Du piano, tiens donc ! - Cette petite oie est étonnante Walter, vraiment étonnante, ne trouves-tu pas !… (s’adressant à moi) - Tu me dis jouer du piano ? Alors parfait, passons au salon ! Voilà quelque chose qui me plait, oui … Et tu t’apercevras très vite pourquoi ! Je ne savais pas pourquoi le fait que je sache jouer du piano lui plaisait tant et pourquoi j’allais très vite m’en apercevoir ! Que manigançait-il ? En tout cas, il avait l’air ravi en arborant un large sourire …Le Majordome m’entraîna vers une pièce inconnue encore. Nous arrivions au dit salon, vaste pièce, avec des tables, des chaises aux dossiers hauts, des meubles anciens et aux murs des superbes tableaux. La salle était vaste et on devait danser à coup sûr dans cette pièce. Au centre de la pièce trônait un magnifique piano à queue Gaveau, tandis que dans le ...
    ... fond de la pièce, se trouvait une épinette. Les touches blanches du piano à queue étaient en ivoire, les noires en ébène, un piano certainement datant de plusieurs siècles et d’une valeur inestimable, à n’en pas douter... Alors que j’ouvris la queue du piano, y installant la béquille, je remarquai à l’intérieur une petite tirette en bois, reliée à un câble, laquelle n’avait pas à exister sur un tel piano, j’en fis la remarque au Maître qui regarda Walter d’un air entendu et dis : - Tu as vu cela comment, chienne ? - L’habitude Maître, l’habitude (moqueuse encore une fois), je connais parfaitement les instruments de musique et ce piano de grande valeur ne possède pas de tirette à cet endroit-ci, tout simplement… Oui, ce piano était vraiment très beau. Le meuble était travaillé, marqueté, ciselé de feuilles d’acanthe et d’un verni de toute beauté. De même que le tabouret l’accompagnant qui, selon moi était de style Louis XVI. Ce tabouret était en noyer, mouluré et sculpté de fleurettes et de cœurs de bonne facture étant marqueté aussi et joliment verni avec les pieds pleins donc sans espaces vides entre eux, formant ainsi comme un petit caisson de rangement sous l’assise, caisson magnifiquement décoré. Tandis que je prenais place sur le dit tabouret, je tapotais quelques touches, pour en extraire le son… m’adressant mentalement à l’instrument je lui disais « Montre-moi ce que tu as dans le ventre, piano, pour que je puisse te faire donner le meilleur de toi-même ». - Il n’est ...