1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1053)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pas très juste, Maître, il aurait besoin d’être accordé. (Celui-ci, vexé, regardant le Majordome) - Tu feras venir l’accordeur au plus vite, Walter ! - Oui Monsieur le Marquis ! Assise, je proposais au Noble, toujours insolente sur mon ton : - Maître, connaissez-Vous la Sonate au Clair de Lune de Ludwig Van Beethoven ? (qui ne connait pas !) - Naturellement ! J’entamais donc le premier mouvement de la sonate que je connais par cœur. Au fur et à mesure des mesures, je voyais les visages de ces Messieurs s’allonger, semblant apprécier ce qu’ils entendaient et voyaient, la pianiste, nue devant le clavier, assise ce qui faisait ressortir mes fesses musclées, mes seins suivant les mouvements de mes bras et mains, crinière au vent, avouez que ce n’est pas commun de jouer nue au piano !… Arrivée au terme du troisième mouvement, Presto Agitato en ut dièse mineur, quelle ne fut pas ma surprise par ce qui allait suivre ! En effet, le Maître me stoppa net par ses applaudissements nourris et par ces mots : - Bravo, je te félicite tu excelles au piano … Maintenant tu vas continuer mais avant, tu vas bien écarter tes cuisses et jambes de chaque côté du tabouret afin de bien offrir tes orifices… Et surtout l’un de tes deux trous auquel tu ne pourras pas te soustraire, salope !… Je ne comprenais rien à ce que voulais dire ou faire le Châtelain. Mais bon, bien assise sur ce magnifique tabouret, je ne craignais pas grand-chose à jouer du piano ainsi et donc c’est sans aucune appréhension ...
    ... que j’obtempérais, par excitation je l’avoue à m’exhiber de cette façon. Je passais donc mes genoux et chevilles de chaque côté du siège, écartant ainsi mes cuisses. Mais ce que je n’avais pas remarqué, c’est le mécanisme placé sous ce luxueux tabouret d’époque, mécanisme dissimulé dans le caisson de rangement sous l’assise et relié par-dessous aux touches du piano. Le Maître s’approcha de celui-ci et actionnant la petite tirette dissimilée dans le piano, celle que j’avais remarqué tantôt et qui n’avait pas sa place à cet endroit. Il me lança avec fierté : - Vois-tu Ma chienne, ce piano a une particularité. Il appartenait à l’un de mes aïeux, le Marquis Charles-Edouard Evans en 1784 (voir les Origines de la Saga) qui fit installer cette particularité un peu spéciale et qui fonctionne encore très bien de nos jours… On peut jouer de ce piano de deux manières. D’abord comme celle que tu viens brillamment d’exécuter pour le plus grand plaisir de nos oreilles… Mais aussi et après avoir actionné cette petite tirette laquelle tu as su nous la faire remarquer tout à l’heure. Tu vas voir et ressentir surtout cette deuxième façon de jouer de ce magnifique piano à queue avec donc cette particularité que tu ne seras pas prête d’oublier !… Oui piano à queue ! … ce piano va donc prendre toute sa signification de cette juste appellation … piano à queue !… Je ne comprenais absolument rien à quoi et où il voulait en venir, quand il rajouta : - Appuis sur la première touche du clavier, sur ta ...