1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1053)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... gauche … J’obtempérai sans savoir ce qu’il voulait dire par ‘cette juste appellation du piano à queue’ sauf comprendre le véritable sens de cette appellation connue pour ce genre d’instrument de musique. Le fait d’appuyer sur la touche du ‘do’ enclencha, en plus de la sonorité entendue de la note, l’ouverture d’une trappe savamment dissimulée sur l’assise du tabouret, ce qui me donna la sensation d’avoir les fesses dans le vide du caisson. Surprise, et encouragée par le Maître à jouer la gamme, je tapais sur le ‘ré’, mi, sol, etc… ce qui fit monter du caisson et au rythme de la musique un plug vertical (en bois dur) mécanique préalablement graissé et fonctionnant donc au rythme des touches du piano sur lesquelles il était relié. Je compris aussi tôt le sens qu’avait donné Monsieur le Marquis à ‘piano à queue’ ou ‘piano à plug’ ! - Ecarte bien les fesses, salope et laisse-toi empaler par ce plug graisseux qui va t’enculer, aller et venir en toi au rythme de la musique. Sache l’honneur que tu as car cette ingénieuse invention a été imaginée par le célèbre Marquis de Sade lors de son séjour au Château de 1784 à 1785 et fut utilisé sur plusieurs esclaves (voir les Origines de la Saga) … J’allais me lever, un peu par crainte, quand Walter m’appuya fortement sur mes épaules afin de m’obliger à m’asseoir ce qui me fit m’empaler sur le plug qui était en position haute. Le Maître m’ordonna de rejouer le troisième mouvement, Presto Agitato en ut dièse mineur. J’obéissais car je l’avoue ...
    ... je mouillais fortement d’excitation face à cette perverse situation. Au début je jouais trop doucement afin de laisser le plug en bois d’époque bien prendre sa place dans mon fondement, mais le Majordome me fouettait le dos à l’aide d’un petit fouet afin de me faire activer car le Noble voulait entendre le bon tempo. Jamais je n’avais joué aussi mal ce magnifique morceau étant très perturbée par la sodomie imposée pour laquelle le plug montait et descendait dans mon cul calé sur le même tempo orchestré par les touches du clavier… Au bout d’un moment et alors que le plug me provoquait de sublimes sensations, l’envie de jouir se faisait forte et je l’exprimais par une augmentation de ma respirations et mes grimaces de plaisirs qui avaient succédé aux grimaces de douleurs anales… Je commençais à avoir envie de jouer plus vite afin d’augmenter les allers-retours du phallus factice quand le Maître constatant que je commençais à prendre mon pied, lança un ordre laconique : - Ca suffit ! J’arrêtais donc de jouer ce qui stoppa le plug dans la position, une nouvelle fois haute, et donc il ne bougeait plus profondément planté dans mon cul. - Ca suffit, aller assez joué, Tu es une bonne pianiste, il n’y a pas en douter … Je te félicite… Même si pour mes oreilles, j’ai sans conteste préféré ta première façon de jouer … La deuxième a été, disons… plus profonde … avec des notes… beaucoup plus saccadées par moment ! … Walter, ramène Ma chienne au Chenil, dit-il, équipe-là de son collier et ...