On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (2)
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
Hétéro
J’étais parti pour plusieurs années à Paris pour mes études. Evidement j’allais pouvoir rentrer de temps en temps chez papa et maman pour les vacances. J’habitais avec mon oncle Jacques qui physiquement me ressemblait avec vingt ans de plus, des petites lunettes, une calvitie prononcée et un bouc entretenue. Je savais que ma mère ne l’aimait pas trop. Il était son beau-frère et il avait dû y avoir un passif entre eux (dispute ou autre chose). Mon père était quand même parvenu à la convaincre de me laisser partir chez lui (en même temps, financièrement, ils n’avaient pas trop le choix). Tonton était l’archétype du vieux garçon, célibataire endurci. Par la suite j’allais me rendre compte que nous allions bien nous entendre. Au quotidien, j’arrivais facilement à concilier étude et boulot. Mes études ne me prenaient pas toute la journée et quand je finissais, je partais aider tonton à sa boutique. Ce que j’ignorais (ce que tout le monde ignorait d’ailleurs) c’était qu’en plus de son boulot, il avait une deuxième activité : les photos de charme. Le jour, il développait des photos de famille, il jouait les photographes de mariage parfois, …. La nuit, il photographiait des filles à poil. Ensuite, il revendait les photos à des magazines de charme de l’époque et mine de rien, il arrivait à faire son beure. Cette seconde activité, je l’ai découverte par hasard. C’est le genre de truc qu’il préférait garder secret et ça se comprenait pour l’époque. Très souvent j’étais en boutique ...
... pendant que lui, s’attelait à l’arrière. Parfois le soir, il lui arrivait de rentrer plus tard. Il me disait que c’était à cause d’une commande surprise et urgente. Je le croyais. Bien souvent il me disait de profiter de mon Samedi, que lui allait finir certains papiers à la boutique …. Je n’avais aucune raison de ne pas le croire. C’est un jour où j’avais oublié certaines de mes affaires de cours à la boutique que j’ai tout découvert. La veille, j’étais crevé et j’étais parti me coucher en laissant la moitié de mes affaires sur place. J’avais aidé Tonton et j’étais rentré sans faire attention. M’étant rendu compte de mon oubli, j’ai alors pris la clé de la porte de service et je suis retourné à la boutique. Ce n’est qu’après avoir retrouvé mon sac que j’ai entendu du bruit. La porte du studio photo n’était pas fermée et c’est là que j’ai vu Tonton, son appareil dans les mains en train de tirer le portrait à plusieurs jeunes filles de mon âge les seins à l’air. Je voyais ces filles prendre des poses plus ou moins érotiques avec le peu de vêtements qu’elles avaient. Mon oncle les mitraillait en disant « Oui va z y ! Bouge ton corps. Ondule tes formes. Fait l’amour avec l’objectif …. » Moi, à regarder cette scène, je commençais à avoir une sacrée trique, une vraie barre de fer. Je suis alors parti aux toilettes pour me soulager en silence. Je venais de me branler au-dessus de la cuvette des chiottes et de m’essuyer le bout avec du papier hygiénique quand j’ai entendu les filles ...