1. On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (2)


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Hétéro

    ... Vu le boulot pour lequel je me prédestinais, autant s’habituer à ce qui allait être ma future tenue de travail. Il m’a payé mon costard, on a préparé notre matériel et on est parti. Je n’imaginais pas le boulot que ça allait me demander. Toute la journée, je transportais le matériel, chargeais les appareils, faisait des allers-retours pour aller chercher les pellicules dans la voiture, les bons flashes en fonction de la lumière, …. Bref, j’ai fait du sport. Pendant ce temps-là, Jacques tapait la discute avec les familles des mariés. Le matin, on prenait les photos des mariés seuls avec leurs familles. Ils se positionnaient et pendant que Jacques préparait son appareil et choisissait le bon angle moi je voyais qu’il connaissait son boulot. Il avait comme un sens inné pour ça. Je m’en suis rendu compte en voyant le résultat. Les clichés étaient magnifiques. Après la cérémonie, on s’est dirigé vers un petit château avec dépendances qui faisait de l’élevage de chevaux et qui accessoirement louait des salles pour des événements comme des mariages. Comme nous faisions partie du petit personnel de la journée, on mangeait à part. J’ai passé une grande partie de l’après-midi à faire des photos souvenirs avec un polaroid pour les invités qui voulait un souvenir immédiat de cette journée. Pour les plus jeunes qui ne connaissent pas, c’était ce genre d’appareil photo à pellicule qui sortait les photos sur papier directement après les avoir prises – il fallait malgré tout attendre ...
    ... quelques minutes avant de les exposer à la lumière. La qualité restait correcte et Jacques m’avait chargé de cette tâche pendant que lui discutait avec les parents de la mariée à propos de la prestation. jqejggho Je n’ai jamais voulu être photographe mais ça restait quelque chose de sympas à faire. Plus tard, à la fin de la journée, je commençais à ranger le matériel et la mariée est venue me voir. Non les gros vicieux je ne me la suis pas tapé. Il ne faut pas déconner non plus. Elle a tenu à me remercier et m’a demandé si j’avais vu ses parents. Je lui ai répondu que non. J’ai chargé le matériel dans la fourgonnette mais je ne trouvais plus Jacques, il avait disparu. J’ai cherché et à un moment je l’ai retrouvé sortant d’un bâtiment. Ça tenue était un peu débraillée, je l’ai aidé à se remettre quand j’ai vu la mère de la mariée sortir du même bâtiment en catimini pour rejoindre les invités suivi de près par son mari. Elle avait sa robe un peu mal mise comme si elle s’était rhabillée à la hâte. J’ai soudain fait le rapprochement. — Non ! Ne me dis pas que …. — …. Que quoi ? Que je me suis tapé la mère de la mariée ? Bah si. Elle voulait une ristourne sur mes tarifs et …. — Oh bordel. — Ne t’en fais pas. J’ai fait attention et puis son mari voulait regarder alors …. — Remarque, vu son âge, elle doit être ménopausée. Tu ne risques pas grand-chose — Surement. En tout cas, elle aime la bite. Ça c’est sûr. Bon …. T’as chargé la bagnole ? — Oui — Bon aller on se casse. Ce fut une journée ...