Suite à votre mèl ...
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... froid du couloir pendant qu’elle séchait ses cheveux. La ceinture de son peignoir en satin s’est dénouée. Elle portait dessous un petit slip blanc transparent retenu sur ses hanches par une rangée de petites perles blanches. Ce n’était pas la première fois que je la voyais en petite tenue, mais la transparence du slip, les petits poils sombres qui traversait le mince nylon ajouré … je ne me suis pas rendue compte que je fixais les yeux dessus, longtemps, qu’elle s’était tournée face à moi, et je n’ai relevé les yeux quand entendant son rire et en sentant sa main sur ma joue. Elle n’a rien dit. Elle me souriait. Je sentais les joues me brûler et j’étais bien incapable de dire quoi que soit pour m’excuser de mon indiscrétion. Elle est plus petite que moi. Elle s’est mise sur la pointe des pieds pour poser un petit baiser sur ma bouche en se tenant d’une main sur mon épaule, de l’autre sur ma hanche. Elle a dit … Elle riait ... Je devais faire une drôle de tête … elle a dit « Enfin tu me regardes, je désespérais un peu », et elle m’a encore embrassée. 23 ans. Mon premier baiser, et encore pas un vrai, et c’était une femme ! Elle a fini de se préparer. Je ne disais rien, figée, sans doute l’air complètement idiote, je n’osais plus baisser les yeux sur elle. Elle m’a encore embrassée en partant. Comme d’habitude j’ai dormi dans la chambre d’amis, en face de celle de leur fils. C’est son doigt qui caressait mes lèvres qui m’a réveillée dans la nuit. Elle était assise sur mon lit. ...
... Elle avait allumé la veilleuse sur la table de chevet. J’ai fermé les yeux, serré fort ses doigts qui avaient pris ma main. Ses lèvres toutes douces, je tremblais fort. Sa main sur un sein, je gémissais sous sa bouche. Sa main sous les draps, j’ai ouvert ma bouche à sa langue. Sa main dans ma culotte, j’ai ouvert les cuisses. Le plaisir que je me donnais, que je m’étais donné avant de dormir en pensant à son petit slip et aux poils noirs qui perçait le mince nylon, c’était bien. Le plaisir qu’elle m’a donné dans la nuit de sa main était bien meilleur. Elle n’a pas dit un mot, a éteint la veilleuse en partant, un dernier baiser posé sur mes lèvres. Vous voyez, Monsieur, ce que j’attendais, elle me l’a offert. Tout doucement, sans me poser de question. Comment elle savait que je ne la repousserais pas ? Elle a pris. J’étais à prendre et elle l’a deviné sans avoir besoin de questions. Elle m’a téléphoné dans la semaine qui a suivi. Elle n’a pas dit pourquoi elle voulait que je vienne la voir, je n’ai pas demandé. Ce qu’elle voudrait de moi, elle le prendrait. Elle m’a accueilli comme on s’était quittées, d’un baiser et d’un sourire, m’a prise par la main sans un mot pour m’entraîner dans le salon devant la cheminée où brûlaient deux grosses bûches et s’est assise au bord de la petite table basse en bois : « Déshabille-toi, lentement ». Pour la première fois, en plein jour, j’étais nue devant une autre que moi-même, pour la première fois, allongée sur le tapis de laine devant la ...