Amélia la danseuse, Amélie la rousse...
Datte: 28/06/2018,
Catégories:
f,
asie,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
cinéma,
danser,
collection,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... la danse. Amelia semble abandonner le rythme de la musique et par ses mouvements impulse son propre rythme, sa propre musique, qui transforme son corps au fur et à mesure en un seul et unique mouvement qui ramène tout au ventre. Sa respiration est totalement saccadée et elle ahane, comme une femme en train de … en train de jouir ! Oui. Amelia, est entrain de jouir. Là, devant moi. Elle m’offre le spectacle de sa jouissance. Rien que pour moi. Quel magnifique cadeau. Lentement, la respiration semble se calmer, s’adoucir, revenir dans le rythme de la musique dont la mélopée elle-même tend à se reposer. Paisiblement, le corps se détend, les genoux fléchissent, le buste se redresse. Les bras, chargés des voiles mauves viennent jouer devant la figure, la voilent et la dévoilent, tandis que les cuisses, largement ouvertes, impudiques, laissent toujours voir l’intimité d’Amelia. Se tenant sur la pointe des pieds, à croupie, le ventre ainsi tenu en équilibre, elle lui donne un langoureux mouvement de va-et-vient aérien, et dans cette ultime manœuvre suggère l’accouplement dominateur de la femme sur un hypothétique et virtuel phallus d’un partenaire allongé. Le mouvement subtil du bassin, qui monte et descend, se dandine de droite et de gauche, d’avant en arrière, accélère à nouveau, rythmé par la respiration. Les seins, lourds, pointent largement en avant et finissent les mouvements du ventre avec une harmonie difficile à imaginer. Tout le corps vibre à l’unisson. Tous les muscles ...
... se tendent en même temps et dans une série de mesures musicales rapides et puissantes, le corps laisse échapper un flot de plaisir qui mouille les cuisses … et le parquet. Mais au lieu de s’écrouler, de goûter le plaisir immédiat, de prendre une respiration, le corps, continue à épouser le rythme de la musique qui s’adoucit, s’alanguit, perd de la puissance dans la cadence pour devenir plus fluide et évoquer, par la flûte de plus en plus présente, le chant de l’eau claire et le bruissement des ailes des oiseaux. Cette douceur retrouvée permet à la respiration de se calmer, de redevenir moins sifflante, plus douce. Enfin, le corps cesse de bouger. Sans avoir pour autant changé de position, Amelia ouvre les yeux, encore perdus dans le vague de son plaisir, ouvre son voile, sourit largement. Son regard me fixe, descend vers le parquet puis vers son entre jambe, nu et offert. Je reste les yeux rivés à sa prunelle et suit son regard. Son ventre se contracte, une fois, deux fois, puis est animé d’un troisième et d’un quatrième spasme. Sa vulve rose, mouillée de plaisir et de chaleur, déjà ouverte s’écarte, doucement et libère … une bille de verre, qui heurte le plancher de bois, roule vers moi, doucement. Alors que mes yeux restent fixés sur la bille, une second "toc" me fait lever les yeux vers une nouvelle bille libérée par le sexe d’Amelia, qui emprunte le même chemin, et "toc" fait une troisième, "toc, toc, toc, toc … toc" douze billes se répandent sur la plancher … et Amelia, ...