Amélia la danseuse, Amélie la rousse...
Datte: 28/06/2018,
Catégories:
f,
asie,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
cinéma,
danser,
collection,
volupté,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... mauve, attaché aux poignés et aux chevilles, entrant sur le rythme de la musique. Dans cet éclairage naturel, à si courte distance je peux, à souhait, détailler son corps. Elle a de grandes jambes fuselées et musclées, qui se terminent en haut sur un ventre musclé et plat orné de quelques poils pubiens roux, formant un léger et mousseux buisson entretenu avec soin. Selon l’ouverture de ses jambes, les grandes lèvres brunes, pendent au milieu de sa vulve, rose tendre et nue. Sa poitrine généreuse et ferme montre deux mamelons roses bruns au bout desquels pointent deux gros tétons cylindriques. Sa peau est blanche avec très peu de tâches de rousseurs, ce qui est rare chez une rousse. Aux jointures cette peau est diaphane presque transparente. Dans une première pirouette gracile, elle me montre un dos, droit, musclé qui se termine sur deux globes parfaits, charnus. L’envoûtante musique emplit la pièce, se fait de plus en plus syncopée et Amelia calque ses pas sur les tempos des tambourins, glisse sur les notes aigres d’une flûte. Je la vois respirer au bruit des rythmes lancinants. Ses bras se meuvent dans les airs, jouant les ailes d’oiseaux ou de papillons. Elle utilise le léger tissu pour cacher son visage. Son ventre ondule, de gauche à droite, d’avant en arrière. Mélange de danse du ventre et de tamouré. Le ventre qui semble devenir, au fur et à mesure, le centre de préoccupation et de l’attention de la jeune femme. Je suis fasciné et emporté dans le rythme qu’elle lui ...
... impose. Tantôt rapide. Tantôt langoureux. Je suis assez près de la danseuse pour voir ses muscles se contracter, presque les uns après les autres. Vagues ondulantes, qui montent et se gonflent, puis se creusent et compriment les chairs. Les cuisses, puissantes marquent l’effort de la concentration, de mouvements contrôlés et pourtant si gracieusement enchaînés. Le corps d’Amelia se tend, s’étire, se tord, tourne, se ramasse en boule, saute, tressaute et devient œuf, fœtus, femmes enfant, avant de reprendre de l’ampleur. A tout moment, elle surprend par l’enchaînement de courbes, de contractions qui s’accélère au fur et à mesure du rythme de la musique. Les pieds trépignent, les jambes, doucement s’écarte, elle descend et offre à ma vue, son intimité. Hypnotisé par ce spectacle, j’entraperçois une excitation en perler, alors que des gouttes de sueurs glissent sur les cuisses et rendent ses jambes, son ventre, ses flancs, luisants. Sa poitrine se soulève de plus en plus vite et ne suit plus le rythme musical. Les yeux fermés, la bouche à moitié ouverte, à la recherche d’air, Amélia repose sur ses épaules, les deux pieds calés au sol, les fesses hautes, les jambes largement ouvertes, mouvant son bassin dans un ballet aérien, souple, rapide, suggérant à la fois l’accouplement, le plaisir solitaire et la mise au monde de la vie. Je reste, bouche bée, incapable de détacher mon regard du corps de cette jeune femme qui semble m’offrir là, un spectacle qui va au-delà de la simple magie de ...