1. Je m'ennuie


    Datte: 29/06/2018, Catégories: f, hplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, confession, extraconj,

    Aujourd’hui que je suis âgée, je vais vous raconter mon histoire, que j’ai vécue et que j’ai notée chaque jour. Cela s’est passé durant l’été 1965. J’avais 19 ans, belle femme kabyle, blonde, 1,75 m. Mes parents m’ont mariée avec mon cousin âgé de 22 ans. Ses parents étaient aisés. Mon beau-père, officier de l’armée Française, gagnait très bien sa vie. Belle maison, voiture, c’est ce qui a poussé mon père à me donner à leur fils. J’appelle mon beau-père Sidi et ma belle-mère Lala, en signe de respect. Le mariage se passe bien. J’étais vierge, une obligation à l’époque. Mon mari ne travaillait pas, il me baisait toutes les nuits plusieurs fois. J’adorais sa verge, au moins 20 cm, il me faisait jouir, j’étais heureuse. Malgré toute sa bonne volonté, il ne trouve pas de travail mais on manquait de rien, mon beau-père s’occupait de tout. Mon mari me dit qu’il va partir en France et il reviendra me chercher. On pourra vivre mieux et avoir des enfants. Il me dit : — Tu es chez mes parents, tu ne manques de rien, Il part, une semaine, deux, trois, pas de nouvelles. Mais j’ai su par mon beau-père qu’il se portait bien. : « C’est une crise de jeunesse qui passerait toute seule ». Deux mois, toujours rien, Lala s’inquiétait. Moi aussi, toutes les nuits j’étais seule. Les nuits étaient longues, je m’ennuyais. On n’avait pas le droit de sortir. La seule personne que je voyais de loin, c’était l’ouvrier à mon beau-père. Il n’avait pas le droit de rentrer à l’intérieur de la cour sans la ...
    ... présence de mon beau-père. Lala, femme adorable et généreuse, faisait tout pour moi. Elle me promenait sur nos terres et c’est la première fois que je vois notre ouvrier de près. Il était grand, costaud, il baissait les yeux. Il appelle ma belle-mère Lala, en signe de respect, ainsi que moi-même. Toujours les yeux baissés, Lala lui dit de lever la tête. Je le regarde, il a un beau visage. Lala lui demande de nous ramener du miel et de l’huile d’olive. Elle lui donne de l’argent, il lui dit : — C’est trop… Elle lui dit : — Tu gardes le reste pour ta famille et tu obéis à ma belle-fille comme à moi. Elle s’approche et m’embrasse sur la tête et me dit : — Lala, tu sais mon fils, cela fait six mois qu’il est parti. Il dit : — Dieu le ramènera bientôt. Nous continuons notre promenade et nous rentrons à la maison. On était toutes les deux. On mange et je fais le thé comme tous les soirs. Lala m’a offert une radio pour ne pas m’ennuyer. Elle faisait tout pour moi… on jouait aux dominos, au jeu de dames et puis on allait chacune dans sa chambre. Je rentre dans mon lit, j’arrive pas à trouver le sommeil. Cet homme grand et beau m’a troublée, je me caresse la chatte en pensant à lui. Mais chose impossible, il osera jamais, moi non plus ! Mon beau-père m’égorgerait pour déshonneur de la famille. Il faisait de plus en plus chaud. Lala, femme moderne pour l’époque, me dit de m’habiller léger, comme nous sommes toutes les deux. Un après-midi que j’étais dans ma chambre, j’entends frapper au ...
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