Je m'ennuie - Histoires de Sexe

Je m'ennuie

... noir, tu ne verras rien. J’ai peur que tu te fasses mal.— J’ai l’habitude…— Tu m’obéis, comme Sidi te la dit. Personne ne saura jamais rien. J’étais aux anges. Lala me dit de lui faire voir la grande chambre avec la douche : — Tu lui amènes du savon et une serviette. Je vais chercher le savon et la serviette, Lala me donne la clé et me dit de l’accompagner, je lui ouvre la porte et je reviens très vite vers Lala. Elle était déjà dans sa chambre, elle me dit : — Va dormir, je suis très fatiguée. Je fais semblant de partir, mais je reste pour voir si elle s’endort vite. C’est cette nuit ou jamais. J’étais toujours en robe kabyle et avec mon foulard, je me mettrai directement toute nue. Lala ronflait, signe qu’elle dort profondément. Cela faisait sept moi que j’ai pas couché avec un homme. Je commençais à mouiller toute seule. J’y vais, j’y vais pas… je regarde Lala, je la secoue un peu, elle ronfle toujours. Je prends mon courage, j’ouvre doucement la porte. Il faisait très noir. J’ouvre la porte de la chambre, à ma surprise il ne dormait pas. La bougie était allumée, il me dit : — Je savais que tu allais venir. ...

... J’enlève ma robe et je m’offre à lui. Il bandait comme un âne. Il me dit : — Tu m’as rendu fou hier. Il me prend, m’allonge sur le lit, me lève les jambes et me pénètre d’un coup. Je sens cette longue et grosse verge qui s’enfonce dans mon vagin. Il fait des va-et-vient, nous jouissons les deux en même temps. Je le caresse et il rebande tout de suite. Il me met au bord du lit et s’enfonce profondément dans mes entrailles. Il me pilonne, j’étais aux anges. J’ai plusieurs orgasmes. Il me dit : — Petite Lala, tu es très belle et tu as un cul et des seins magnifiques. Il rebande tout de suite, me prend en levrette et me baise comme un fou. J’étais folle, dingue, lui aussi. Je sentais sa grosse verge dans mon corps. Il se vide, j’étais plein de sperme qui sortait de ma chatte. Il me dit : — Retourne dans ta chambre. Demain je viendrais très tard volontairement. Je dirai que j’ai eu beaucoup de travail. Je dormirais ici. Si tu viens, amène de l’huile d’olive car je vais te baiser derrière. Si tu n’es pas d’accord, tu ne viens pas. Il savait qu’il me tenait et que je ne pourrais plus me passer de lui. La suite bientôt…