Je m'ennuie
Datte: 29/06/2018,
Catégories:
f,
hplusag,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
confession,
extraconj,
... portail. Je vais voir, Lala dormait, je la réveille car je n’ai pas le droit d’ouvrir. Elle me dit : — Habille-toi, va ouvrir. C’est notre ouvrier qui nous ramène le miel et l’huile. Je m’habille mais je laisse volontairement le haut de ma poitrine découvert. J’ouvre la porte, il me donne les courses, un pot de miel en plus. Il me dit : — C’est la coutume quand on voit sa Lala la première fois. Je lui dis de lever les yeux. Il me regarde, il voit bien ma poitrine. Je lui dis : — Attends-moi, je vais chercher de l’argent. Je regarde, Lala dormait toujours. Je découvre un peu plus mes seins. Je lui donne l’argent. Il dit : — C’est beaucoup trop, Lala, c’est un cadeau pour vous. Merci beaucoup pour ma famille. Je lui dis au revoir et je retourne dans ma chambre. Je veux qu’il me baise, mais comment faire ? Un matin au déjeuner, mon beau-père nous dit : — Je vais aller en France pour voir ce que devient mon fils, je ne peux pas rester sans nouvelles de lui. Je partirai samedi. On frappe au portail, Sidi va ouvrir : c’est notre ouvrier. Sidi le fait asseoir et lui parle : — Je vais partir en France pour mon fils. Je te laisse responsable de ma maison. Tu fais les courses, tu t’occupes de tout. L’ouvrier se lève, lui embrasse le front : — Merci Sidi, je serai digne de votre confiance. J’obéirai à mes deux Lala. Sidi part en France. Un soir, Lala me dit : — Demain matin, l’ouvrier viendra chercher l’argent pour les courses. Tu lui donnes, il vient très tôt, je serai encore couchée. ...
... Le matin de très bonne heure, je me lève et je l’attends. Il frappe, je regarde : Lala dormait profondément. J’étais en chemise de nuit avec ma robe de chambre dessus. Je l’ouvre largement, découvrant mes seins tout nus et mon bas-ventre. J’ouvre le portail. — Bonjour Lala, il me dit tête baissée. Je lui dis de lever la tête, il me regarde et je m’approche de lui. Je le touchais presque. — Je vais partir, Lala, la ville est loin. Il faut pas que je rate le bus. Il part, Lala dormait toujours. Elle se lève bien tard, on déjeune. Vers une heure, on frappe. — Va ouvrir, me dit-elle, je vais dans ma chambre. Je mets une longue robe kabyle et un foulard sur la tête. J’ouvre, il me donne les courses. Lala dit : — Lala, fais-le rentrer, il est très fatigué. Il rentre avec les courses : — Rentre, lui dit-elle. Tu vas manger avec nous.— Non, Lala. Sidi n’est pas là. Je peux pas rester avec vous tout seul.— Si, il ne dira rien. C’est moi qui le veux. Je lui dirai que j’avais besoin de toi. Il lui rend le reste de l’argent. Elle lui dit de le garder. Il avait peur, ça se voyait sur lui. On finit de manger, elle lui dit : — Tu viens tous les jours pour voir si on besoin de rien.— Je suis obligé de venir tôt car j’ai beaucoup de travail avec les bêtes, les champs, les arbres fruitiers. Elle me dit : — Tu te lèves, tu le fais rentrer, tu lui fais le café et après, tu retournes te coucher. La journée passe et la nuit vient. J’étais pressée qu’il fasse jour. Je n’ai pas fermé les yeux de la ...