1. Pas sage à l'acte


    Datte: 29/06/2018, Catégories: fffh, hsoumis, fdomine, humilié(e), BDSM / Fétichisme hsodo, sm, donjon, baillon, init,

    ... porte est ouverte. Tu entres. Et dès que tu seras entré, le jeu commencera. Tu es bien décidé ?— Euh… oui. Je compose le code et la porte s’ouvre. Les quinze secondes de la montée en ascenseur me paraissent très longues… Je n’imaginais pas que l’on puisse se rendre en enfer autrement qu’en descendant. Je me dis que, finalement, c’est sans doute le paradis qui m’attend là-haut. On se rassure comme on peut. Comme convenu, la porte est ouverte. Je la pousse. — Entre, et ferme la porte. Tire le verrou. Bien. Approche… Maîtresse Florence est assise derrière son bureau qui se trouve dans son salon, au bout d’un petit couloir assez sombre. Je m’approche timidement. — Approche, n’aie pas peur. Et assieds-toi. Sa voix est calme, égale, presque rassurante… On dirait un entretien d’embauche. Elle est vraiment aussi belle que sur les photos. Elle doit avoir dans les quarante-cinq ans, les cheveux blond platine ; elle porte une longue robe de cuir noir avec un décolleté qui laisse apparaître ses seins magnifiques et voluptueux. Elle me scrute des pieds à la tête avec un regard froid qui me donne le frisson. — Qu’est-ce que tu regardes comme ça ?— Vous êtes seule, finalement…— Assieds-toi, je t’ai dit ! Je m’assois devant elle. Elle me tend une feuille. — Tiens, signe ça. Je commence à lire le papier. Ça ressemble à un contrat… — Je ne t’ai pas demandé de lire ; je t’ai dit de signer.— Mais… Elle esquisse un sourire qui réussit à me détendre un peu… Elle se lève et fait le tour de son ...
    ... bureau pour se planter derrière moi. Elle pose ses mains sur mes épaules et se fait douce, caressante… Elle se penche à mon oreille et susurre : — Allons, signe ça que l’on puisse commencer à jouer vraiment…— Mais, qu’est-ce que c’est ?— Ton contrat d’esclavage. On en a parlé l’autre jour au téléphone.— C’est le même ?— Bien sûr que oui. Allez, signe et donne-le-moi ! Elle continue de me masser doucement les épaules, de caresser mon cou tout en se collant à moi. Je peux respirer son parfum… J’ai l’impression de perdre la tête, et une terrible érection commence à me faire sentir à l’étroit dans mon pantalon. Je signe donc sans plus regarder et lui tends la feuille. Les caresses cessent alors immédiatement. Elle s’empare du contrat et le range dans un tiroir de son bureau qu’elle ferme à clef. Sa voix devient alors dure, impérative. — Bien : déshabille-toi ! Ce que je fais, bien sûr… tout en gardant mon boxer. Je la vois sourire. — Tu veux garder ce machin ridicule ?— S’il vous plaît, oui… Elle s’approche à nouveau de moi, avec cette fois une paire de menottes. Elle parle à nouveau tout doucement, avenante… — Mets tes mains dans le dos que je puisse te passer ces jolis bracelets… Bien. Et maintenant, le collier et la laisse… Bien. Tu es beau comme ça… Elle retourne s’asseoir derrière son bureau et appuie sur un bouton qui doit être une sonnette. J’entends un bruit de talons qui s’approche dans le couloir de la chambre, et une très belle femme fait alors son apparition. L’idée même ...