1. Pas sage à l'acte


    Datte: 29/06/2018, Catégories: fffh, hsoumis, fdomine, humilié(e), BDSM / Fétichisme hsodo, sm, donjon, baillon, init,

    ... que l’on peut se faire d’une dominatrice dans nos plus purs fantasmes. Elle mesure environ 1,80 m, elle est brune, totalement harnachée de cuir, et elle est perchée sur des bottes à talons hauts de huit centimètres. Elle a le type sud-américain, très bronzée, très brune, des yeux noirs en amande, une bouche pulpeuse ornée d’un rouge à lèvres écarlate, et visiblement elle pratique la musculation. Maîtresse Florence reprend la parole : — Dominika, je te présente monsieur Aramis… Enfin, c’est ce que prétend cette pute qui n’assume même pas de donner son vrai nom. Il me suffirait de fouiller dans ses papiers pour le connaître, mais je veux qu’il se soumette de lui-même et qu’il le prononce. Tu t’appelles comment, salope ?— Mais, Maîtresse Florence…— J’ai dit « Tu t’appelles comment, salope ? »— …— Bien… Très bien… Dresse-moi cette pute, Dominika… Et pour commencer, apprends-lui les règles de base. Il n’a pas voulu se présenter totalement nu devant moi : il a gardé son boxer de merde. Une bonne dizaine de coups de cravache devraient lui apprendre les bonnes manières…— Mais… Maîtr… Je n’ai pas le temps de protester davantage. Dominika a tiré sur la laisse et commence à me traîner dans le couloir en direction d’une petite pièce que je découvre être pour le coup… un antre des tortures. Il y a un anneau de fer fixé au plafond. Dominika y fixe la laisse. Avec les mains menottées dans le dos, je peux à peine bouger. Puis je la vois s’emparer d’une paire de ciseaux et commencer à ...
    ... découper mon boxer… — Hé, qu’est-ce que vous faites ?— Ta gueule, esclave !— Mais comment je vais rentrer ?— Qui t’a dit qu’on te laisserait repartir ?— Quoi ?— Tu veux partir ? Dis le mot magique. Je ne sais plus où j’en suis… Je sens que je perds totalement les pédales. J’ai peur comme je n’ai jamais eu peur de ma vie. Et en même temps, je suis dans un état d’excitation que je n’ai jamais connu auparavant. Dominika s’approche de moi avec un sourire qui ressemble plus à un rictus. — Tu as eu ta chance de tout arrêter… Tu vas dérouiller, crois moi… Elle termine de découper ce qui reste de mon boxer et s’empare d’une cravache. — Pas la peine de supplier : tu auras tes dix coups. C’est le prix à payer pour ne pas t’être présenté convenablement devant nous. Le premier coup cingle mes fesses ; j’émets un cri. Maîtresse Florence nous a rejoints et se tient devant la porte. Elle éclate de rire… — Je l’ai à peine frappé, rigole à son tour Dominika. Et regarde le cinéma qu’il nous fait… Elle n’a pas tort. Je me rends compte que c’est la peur bien plus que la douleur qui m’a fait crier, car j’ai à peine senti le coup sur ma peau. Mais elle va encore frapper, neuf fois de suite, et chaque fois, je vais crier de la même façon, comme pour manifester une sorte de jouissance qu’il m’est impossible de contrôler… Cela dit, après le dernier coup, je me rends compte également que j’ai le cul en feu… Dominika m’ôte enfin le bâillon et Maîtresse Florence recommence alors son impitoyable interrogatoire ...