1. Soa


    Datte: 01/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, bain, voyage, odeurs, Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, occasion,

    ... plaisir. Mes couilles complètement vidées, je cessai de bouger, et restai couché sur ses cuisses, comme anéanti. Je ne pouvais me résoudre à me retirer d’elle. C’était tellement bon que je voulais en profiter… Elle ne bougeait pas, elle caressait mon dos en me demanda si j’étais bien… J’étais merveilleusement bien. Elle me dit qu’elle voulait changer de position et après une savante gymnastique, elle se retrouva couchée sur le côté, et moi derrière elle, toujours enchâssé dans son anus. Ma verge ne débandait pas. C’était peu ordinaire pour moi… — Comme cela nous pourrons dormir… Un moment plus tard elle me dit : — Tu restes dur longtemps comme cela ? Devant l’absence de réponse, elle continua : — D’habitude les hommes deviennent très vite mous après avoir joui…— Tu as fait ça souvent, lui demandai-je ?— Oui, toujours avec les hommes. Je veux rester vierge, et comme cela je ne risque pas d’avoir un enfant. Mais la plupart du temps, ils se contentent de bouger entre mes seins, puis de partir satisfaits… Il est vrai que dans les années 60, la pilule n’existait pas, et les moyens contraceptifs de l’époque assez peu fiables. Je commençais à trouver cette méthode aussi efficace qu’agréable. — Et tu as beaucoup d’hommes ?— Oh ! Quelques-uns…— Et tu aimes te faire prendre par-là ?— Quand je peux mettre de l’huile, ça va ! Autrement je n’aime pas trop. C’est dommage car les hommes ne me font pas jouir et je dois me caresser après, quand ils dorment ou qu’ils sont partis… Mais toi tu ...
    ... m’as donné du plaisir avant avec ta langue ! Elle me fit à nouveau remarquer qu’elle trouvait drôle que ma verge soit encore dure et enfoncée en elle. — Tu veux que je sorte ? Elle cria : — Non… J’aime t’avoir en moi, je me sens pleine, je trouve que c’est drôle. Elle me demanda si je voulais à nouveau remuer en elle ; je lui répondis que moi aussi j’aimais la situation actuelle. Il n’était pas loin de minuit et l’air était beaucoup plus frais. Elle tira le drap pour nous couvrir, et le sommeil nous gagna alors qu’elle était toujours prise par ma bite profondément enfoncée dans son anus. Au réveil, je regarde ma montre, il est six heures. Elle est déjà levée. Je me lève et enfile mon short. Je vais vers la cuisine, le feu est déjà allumé et de l’eau est en train de chauffer mais elle n’y est pas. Je me dis qu’elle doit être allée faire sa toilette. Arrivant au ruisseau je la découvre nue, allongée dans une cuvette naturelle du cours d’eau. Elle m’invite à la rejoindre. J’enlève mon short et rentre dans l’eau. L’eau est fraîche, presque froide. Mais je m’y adapte rapidement. En une reptation je suis près d’elle et elle me donne un petit baiser. Je me mets sur le dos et m’allonge tout près de son corps. Je la vois entièrement nue et en lumière du jour. Bien que l’eau déforme ma vision d’elle, je jouis d’un spectacle de toute beauté. Ses seins flottent entre deux eaux et sont tels des obus, les tétons en forme de détonateurs. Elle a le ventre plat et des hanches très prononcées. ...
«12...789...14»