Soa
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
couleurs,
bain,
voyage,
odeurs,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
... Ses jambes sont fuselées et musclées. Elle se laisse admirer et y prend un plaisir non dissimulé. Elle glousse d’aise. — Tu sais, c’était très bon hier, tu m’as donné beaucoup de plaisir, dit-elle avec une voix qui semble venir du fond de sa gorge.— Tu m’as aussi comblé. Elle se frotte contre moi le temps d’un baiser. — Viens, il faut prendre le café. Elle se lève, enfile ses vêtements et se précipite vers la maison. Comme elle a laissé son savon, je me savonne des pieds à la tête, me rince et sors pour enfiler mon short et la rejoindre. Il fait déjà chaud aux premiers rayons du soleil, je ne tarderai pas à être sec… Quand j’arrive à la maison, le café est servi, il y a un morceau de pain et de la confiture d’ananas. Comme nous avons très faim, le pot de confiture est terminé rapidement ! Elle prend la gousse de vanille qui reste dans le pot, et avant de la jeter la suce en entier pour retirer toutes traces de confiture. Pour apprécier le goût de la vanille également. — Sais-tu à quoi cela me fait penser ? Elle a un haussement de sourcils d’étonnement puis elle comprend : — Que tu es bête ! Elle rit… Tu n’en as pas eu assez ?— Je n’en aurai jamais assez avec toi… Avec un haussement d’épaules elle se lève en disant qu’elle doit faire la petite lessive que je l’ai empêchée de faire hier… puis elle doit aller au marché pour acheter de quoi manger à midi. Pendant ce temps, je vais dans la maison chercher des affaires pour me changer. Elle ne voit aucun inconvénient à ce que je ...
... l’accompagne au marché, et bien sûr je l’aide à porter les produits achetés, dont la lampe qui avait fait défaut la veille. Revenus à la maison, elle me propose d’aller visiter sa plantation de café, sur la colline au-dessus de son terrain. La journée se passe à se promener, et à discuter. Bientôt je n’ignore plus grand chose de sa vie civile, ni de ses projets d’avenir. Le soir tombe vite, et elle réalise que le repas n’est pas prêt, qu’elle manque à tous ses devoirs d’hôtesse. Je lui dis que ce n’est pas de sa faute mais de la mienne. Pendant qu’elle lance la cuisson du riz, je l’aide à préparer la viande. Le souper est identique à celui de la veille et après avoir fait la vaisselle, nous parlons un long moment assis sur la terrasse de « ma » maison. Elle veut connaître des détails sur la vie en France… — Il est tard, je vais te laisser dormir, dit-elle en se levant. Je la retiens par la main en lui disant que je ne sais pas mettre la moustiquaire, et que je n’ai pas d’eau dans ma case. Je continue en prétextant que j’ai peur d’aller en chercher tout seul… Elle rit en me disant que je peux aller utiliser sa salle d’eau. Nous y allons ensemble et pendant que je fais mes ablutions, elle enlève sa culotte, la pose sur une ficelle tendue en travers de la salle de douche puis s’accroupit pour se laver l’entrejambe. Quand elle se relève pour prendre sa culotte, elle a une surprise : plus de culotte sur la ficelle. Je l’ai prise, et la montre triomphalement. — Si tu la veux, tu ...