La déchéance de Nadia (1)
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
Trash,
... j’attendais la sentence quand j’entendis le bruit d’une fermeture éclair qu’on baissait. Ce n’est pas possible, pensais-je. Comment pouvait-il s’enhardir à commettre pareil acte ? Je suis une femme estimable et non une pute. Je n’ai connu qu’un seul homme dans ma vie, mon mari. Il demeurera le seul. — Regarde-moi ! Demeurant immobile et silencieuse, il me tira par les cheveux. J’avais très mal. Je m’empressais d’utiliser ma main pour lui ôter celle qui me malmenait mais sa prise se fit plus violente, j’avais les larmes aux yeux. — Mets tes mains derrière ton dos et regarde-moi ! Instinctivement, je répondis favorablement à son ordre. Mes yeux se retrouvaient en face d’une énorme bite. Elle était au repos mais elle dépassait celle de mon mari en pleine érection, que ce soit en largeur ou en longueur. J’étais horrifiée par cette vision. Cependant, j’étais aussi, à ma grande honte, émoustillée. — Ça se voit que c’est la première fois que tu as devant toi une bite avec de telles proportions. Je ne répondais pas, mais mes yeux ne quittaient pas cette bite. Je n’arrivais pas décrocher mon regard de cette queue fascinante. C’est la première bite que je vois à part celle de mon mari, et c’est aussi la première fois que la vision d’une bite me fit effet pareil. — Touche-la salope ! Salope ? Quel mufle ! Comment pouvait-il me traiter de la sorte, moi, la femme respectueuse et fidèle. Malgré mes réflexions, ma main se retrouva sur sa bite. J’obéissais à cet homme qui tenait le destin ...
... de ma famille entre ses mains. Sans m’en rendre compte, ma main faisait des allers retours sur cette bite monstrueuse. Ma main n’en faisait même pas le tour. Et je la sentais grossir encore sous les effets des caresses que je lui prodiguais. — Depuis le temps que je fantasme sur tes mamelons de vache petite salope, enlève ton haut. Avec l’autre main, sans volonté, l’esprit ailleurs, j’ôtai mon corsage. Je quittais la bite de M. Bennani à regret pour l’enlever entièrement puis me remis à la masturber, à la grande satisfaction de mon banquier. Il s’empressa de dégrafer mon soutien-gorge, se saisit de mes deux seins et les utilisa pour se branler. Je le laissais faire. Le contact de sa bite sur ma peau m’électrisa et je sentis ma culotte s’humidifier. Je me sentis embarrassée et rabaissée. Je pensai à Kamal et je sentis la honte me submerger. Que pensera-t-il de moi s’il me voyait dans cette position, utilisée comme un objet par cet homme pervers. Il m’a forcé, oui c’est ça ! Mais comment expliquer cette chaleur dans mon bas-ventre ? Il dira que je suis une pute, oui ! Une pute qui offre ses charmes contre de l’argent. — Ça t’excite petite pute, avoue-le ! Prononcé par M. Bennani, ce mot me fouetta. Pourtant, j’avais envie de répondre que oui, ça m’excite ! Moi, la femme prude, j’appréciais le traitement de mes seins. M. Bennani, au bout de quelques minutes, dans un râle guttural, se saisit de sa bite avec sa main, la pressa et éjacula d’énormes quantités de sperme sur mes seins. ...