1. Enfin la vérité


    Datte: 02/07/2018, Catégories: fh, couple, couplus, Oral hgode, jouet, confession, cocucont,

    Résumé des épisodes précédents : «Le dilemme de l’épouse » et «L’aveu » À ma demande, Christelle a accepté qu’un inconnu lui retire son collant et sa culotte lors d’une première sortie en club, pendant que je l’attendais au bar. Elle me raconte son aventure puis nous descendons ensemble sur les lieux du « crime ». Une rivale cachée dans l’ombre vient modifier le récit sincère de son aventure. —— Samedi matin 10 h 30 Réveil. Seul au lit dans les draps bleus froissés. Enfin de la place ! Arrivée au café, mon épouse déjà prête me dit qu’elle va faire du shopping avec les enfants. Ça m’arrange. J’ai la gueule de bois. Fallait pas prendre du whisky et de la vodka. Aspirine. À peine le temps de se croiser. Elle m’appelle vers midi pour me dire de ne pas l’attendre, car elle va déjeuner avec eux rapidement. C’est les soldes au Printemps, boulevard Haussmann… elle veut en profiter. Ils n’ont plus rien à se mettre, les pauvres petits. Je vais en profiter pour faire un peu la sieste cet après-midi. Il faut que je récupère. Juste le temps de l’embrasser sur la joue avant qu’elle ne fasse tourner son tailleur noir et son chemisier blanc en direction de l’ascenseur. Une fois couché, ça ne va pas. Mon érection me reprend de plus belle. C’est pas normal de bander autant ! Les images de la soirée dans le club défilent dans ma tête. La jolie robe bleue, la culotte rouge de la dame brune, son collier en or, le bruit de l’eau du bidet sur la chatte de ma femme, Christelle… Je trique fort sous ...
    ... la couette. Et ces femmes : les petites, celle avec le décolleté noir, la grosse et ses seins généreux, la petite blonde un peu maigre, et surtout la brune autoritaire qui est venue nous rejoindre… C’était un tableau encore plus beau qu’au musée d’Orsay. Il y avait même une belle Olympia, sans parler de l’origine du monde que j’ai cru apercevoir dans la pénombre. Un Toulouse-Lautrec de 2015 dans mes yeux, un sein dans ma main. La vodka pour absinthe. Un autre monde. Une vision du paradis ? J’attrape alors la culotte de ma femme qui était restée cachée dans la poche de mon pantalon. Elle est un peu rigide. Je la roule en boule et la porte à mon nez. Elle sent bon. On ne peut pas en dire autant des collants qui eux gardent leur odeur de ligne A, le fameux RER. Je lance le tout loin sur le parquet. Rien à rajouter, mais je laisse les draps trempés… et m’endors pour quelques heures. —— Samedi 22 h 45 Les enfants sont enfin au lit (couchés ?). Ma femme vient de prendre son bain et me rejoint. Elle y est restée près d’une heure enfermée. Ça sent la fleur d’oranger jusqu’ici. Je finis ma page. — Elle : Regarde ce que j’ai trouvé au Printemps ? Elle me présente alors un joli body en soie crème. Rien à voir avec l’affreux pyjama en coton d’hier soir enlevé rapidement et enlevé encore plus vite. — Moi : Super. Mais tu vas avoir froid. Je te connais. De septembre à mai, il te faut du Damart !— Elle : C’est pas grave. Monte un peu le chauffage. J’ai envie de l’essayer. Il a l’air doux. ...
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