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Enfin la vérité
Datte: 02/07/2018, Catégories: fh, couple, couplus, Oral hgode, jouet, confession, cocucont,
... retiré mes collants et ma culotte comme tu me l’avais demandé hier soir au club… il a pris ma main pour la mettre… sur sa braguette…— Moi : Continue… dis-je en murmurant dans son oreille avant de retirer mon zizi de ses lèvres pour la laisser parler.— Elle : Il était très rigide. Ça m’a beaucoup impressionné de sentir son pantalon gonflé. J’avais un peu peur. Je n’étais plus vraiment consciente de la réalité. Tu aurais pas dû me faire boire un verre de gin. Je voulais que tu viennes me rejoindre, le jeu avait assez duré. Il n’a pas ouvert sa braguette comme je te l’ai dit, mais il a baissé son pantalon. Je l’ai senti appuyer sur mes épaules. Je t’ai encore cherché du regard, mais il n’y avait personne. Je me sentais abandonnée. Il m’a accroupie devant lui et je me suis laissé faire. Il tenait toujours ma culotte dans sa paume. Tout en l’écoutant, je continue à jouer doucement avec le petit œuf, l’enfonçant plus profondément et lui massant les reins. Je la soulève un peu et la repose alternativement sur le coussin. L’objet semble s’enfoncer naturellement et on ne sent plus les vibrations sur sa peau. Entre deux mots, elle ne peut s’empêcher de voler un petit bisou sur le bout de mon sexe présenté en son plus bel état. Ses joues sont brûlantes. Elle transpire et a du mal à s’exprimer. — Elle : Alors j’ai regardé son… j’étais fascinée. Il était magnifique… On aurait dit une statue. Ça faisait des années – depuis notre mariage en fait – que je n’avais pas regardé un autre zizi ...
... en érection. J’étais hypnotisée. Je ne savais pas quoi faire. Pourquoi n’es-tu pas venu me délivrer ?— Moi : Continue…— Elle : Il a pris ma tête entre ses deux mains chaudes et l’a rapprochée de son… J’ai dû ouvrir la bouche malgré moi. Je ne pouvais plus bouger. Je n’arrêtais pas de surveiller la porte de la salle de bain. J’avais maintenant peur que tu entres et que tu me surprennes ainsi. Quelle honte ! (Elle profite d’un moment d’inattention de ma part pour regoûter le bout de mon sexe avant de reprendre son souffle)… Je n’en crois pas une miette ! mais ne l’interromps pas. — Elle : Lorsque j’ai senti qu’il allait… enfin tu comprends, je l’ai fait sortir. La dame avait raison. C’était l’inondation. Le pauvre, je n’ai jamais vu ça… J’étais toute collante. J’en avais plein les cheveux, le cou et dans le soutien-gorge. Il faudra que tu portes ma robe au pressing lundi.— Moi : Merci.— Elle : Ensuite il s’est habillé sans rien dire, m’a pris par la main et m’a raccompagnée gentiment dans les escaliers en me faisant la bise avant que je te rejoigne. Je ne pensais à rien. Il est descendu aussitôt et a disparu dans l’autre direction. La dame d’hier est sortie de la salle de bain juste après nous. Je ne l’avais pas remarquée jusque-là. Je ne savais plus ou me mettre ! Elle devait avoir tout vu. Je n’ai même pas eu le temps ni la présence d’esprit de me refaire belle avant de remonter. C’est pour ça que j’étais si mal à l’aise quand tu m’embrassais sur la banquette. Heureusement que ...