-
Bar à pute
Datte: 03/07/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois
J'avais mes habitudes dans ce bar. Il m'était un peu un refuge tant le midi que le soir. Il était assez éloigné du bureau. A deux, trois stations de tram. J'y avais peu de chance de croiser un collègue. Ahmed le patron était devenu comme un copain. Il savait à propos doser le café. Je sortais régulièrement sur le trottoir griller une cigarette. Je faisais l'objet d'une drague gentille de la part des autres habituées. Je les rembarrais d'un grand sourire. Non pas que je fus prude mais j'avais pour la chose, les amants nécessaires avec lequel j'échangeais durant la pause des SMS.Ceux-ci me sautaient avant que je n'aille rejoindre mon mari. On faisait cela dans une voiture. J'ai toujours adoré sucer un type sous le volant. Il y a là quelque chose de magique et d'un peu transgressif où on perçoit autour la présence du passant lequel peut-être s'offusque qu'on fit ce genre de cochonnerie en pleine rue presqu'au su des enfants. Le ferment de scandale ajoutait à mon plaisir. Il ne me déplaisait pas que la digne bourgeoise et chef de pôle du service s’adonnât à ses heures perdues à ce passe-temps vicieux et si immoral dans la rue.Tant mes voisins que les proches de la famille et collègues de bureau eussent bien été étonnés de découvrir sous la tignasse brune de la salope qui suçait, mon visage d'ange sévère et familier. Ils n'en auraient pas cru leurs yeux. Leur stupéfaction eût été mon triomphe. Plus d’une fois j'aurais rêvé être surprise en de scabreuses positions. Je ne sais si ...
... j'aurais trouvé la force et l'à propos de me justifier. J'ai des fois poussé le vice que la voiture fut garée juste en face du porche de mon domicile. Je fis cela un hiver à l'approche des fêtes. Il faisait froid et sombre.Je me gardais bien d'expliquer à l'amant alors que j'avais rencontré sur le net ce pourquoi nous avions élu cette place au lieu d'une autre. Levant la tête de temps à autre je voyais celle de mon épicier derrière sa caisse qui regardait par là. Il se devait douter d'une chose. Je le savais assez vicieux pour cela. Heureusement j'augurais que la pénombre et la buée sur la vitre l'empêchassent de me reconnaître. Je savourais déjà le moment où le demain je lui ferais un sourire mutin sans qu'il en comprit la signification. Il me lutinait souvent le cul, ce brave cochon.De même je vis nombre de mes voisins s'enfoncer sous le porche ignorants de ce qui se perpétrait dans la petite Uno. Je suçais et branlais âprement ce soir-là. Mon amant tout échauffé se gardait d'éjaculer afin de me prendre plus tard fut-ce ailleurs. Je l'invitais à la patience. En effet j'attendis jusqu'au moment où parut mon mari et qu'il disparut dessous le porche pour que nous allions baiser dans un coin plus tranquille. Ce fut fait derrière une benne à ordures près du canal. Une heure après je plaisantais avec mon mari des péripéties de ma journée.Le curieux était que j'adorais ce mari. Il n'est pas d'homme plus doux et bon. J’admets en retour qu'il n'est pas plus perfide et garce que moi. ...