1. Bar à pute


    Datte: 03/07/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... que plus mon intérêt pour cet homme. Ahmed prévenant ma folie m'assura de faire attention car le gars était dangereux. Ce conseil vain ne gagna qu'à valoriser le fruit défendu. Ainsi fis-je le premier pas l'interpellant un jour que j’avais lu un ouvrage sur les milices pro-serbes. Il marqua un temps de surprise.J’avais ferré mon poisson. J’encourais le risque qu'il m'envoya balader. Invétéré misogyne il eût pu mal prendre qu'une pouffiasse s’intéressa aux choses de guerre. Il voulut m'éprouver. Or je connaissais fort mon dossier. En trois jours j'avais avalé deux gros bouquins. Il me posa maintes questions. Il eût droit à des noms de théâtres d'opérations et de noms de militaires, politiques et autres comparses. Il fut ébloui. Il m'assura en avoir fréquenté certains. Il m'offrit à boire pour me parler de ses exploits. Ce con était fier. Il avait tué et torturé.Il buvait sec. Je renonçais à le suivre là-dessus. Au bout du énième verre il fut pris de rêvasserie et de nostalgie. Il me voyait autrement. Son regard sur mes cuisses m'indiquait qu'il m'observait comme objet de désir ou relent des filles qu'il appelait invariablement « putes ». Nous en vînmes par la suite à ranimer ses souvenirs. Cela lui faisait du bien comme il disait. Avec perfidie je lui fis accroire qu'il avait été le protagoniste d’une grande heure de l'histoire. Ainsi lui parus-je sympathique et presque copain. Peut-être est-ce pour cela qu'il voulut me faire plaisir.Il ne se faisait nulle illusion sur mon ...
    ... genre de femme. Sans ambages il me balança : « T'es une vicieuse. On voit trop que t'aimes la bite. » Tout autre eût été traitée sur le champ par le mot : goujat. Or lui m’impressionnait. Ce mâle me rendait femelle. J'aspirais qu'il me sautât. Il me dit sardoniquement qu'il en avait un peu marre de ses pucelles et qu'il goûterait volontiers à une salope comme moi. Nous eûmes rendez-vous un midi dans un studio peu loin du café. Je fis tous mes efforts pour bien sucer. Je n’étais pas peu fière de ce talent. Il m'en félicita.Pour le reste je pus vérifier ce qu'a de brutal et de renversant un homme viril. Le sadisme avait part dans ses gestes. Avec lui le terme baiser n'était pas un vain mot. Il enculait avec une rare v******e. Depuis longtemps je n'avais éprouvé pareille jouissance. Je succombais au sens propre et figuré. Il tint cependant à dire que j’avais bien soutenu ses assauts et qu'il avait savouré notre union au pieu et qu'il voulait volontiers recommencer. Nous fûmes en sorte des amants. Cela dura un an. J’étais mordu comme une file peut l'être de son mac. Ahmed en était un peu marri.Je ne vis pas venir la catastrophe. Mon Goran vivait de petits trafics. Il fut mal avisé de toucher aux affaires de la drogue. Bref un matin Ahmed m'annonça qu'il y a une heure les flics l'avait embarqué. Tout s'écroulait. Je fus tentée d'aller courir à son secours. Ahmed prévint mon geste. Il me dit de n'en rien faire. Les flics passaient tous ceux du bar en interrogatoire. J'en fus bientôt. ...