Le Radiateur (1)
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
Hétéro
... d’être avec ce genre de personne ! J’avais toujours préféré les filles et les femmes avec un tel caractère, sans trop de prise de tête et familières. Moi qui dans le passé avais été d’une timidité maladive et même malaisante, ça m’aidait à l’époque pour mieux briser la glace. Pour tout dire, j’étais déjà sous le charme. Non seulement du fait de sa grande beauté tant physique qu’intellectuelle, mais outre cela Éliane me faisait me sentir bien, il demeurait dans son appartement une convivialité assez hors du commun. Notre conversation durait, nous rîmes aux éclats… En somme nous passions un bon moment tous les deux, et je me demandais même si en l’espace de seulement quelques heures je ne venais pas de me faire une véritable amie. Mais l’heure tournait, la nuit était déjà tombée dehors et même s’il faisait bon dans cet appartement grâce au chauffage, je devais aller bosser. — Éliane, c’est très sympa de m’avoir invité, mais je ne veux pas m’imposer. Tu as peut-être un copain… ou une copine ! knhkcci — Ne t’en fais pas pour ça, j’attends personne ; je suis seule. Et je ne suis que garçons. Non ? Une jeune femme comme elle de quoi… même pas trente ans, célibataire ? Aussi belle, intelligente et sociale, et personne pour partager sa vie ? Soit elle était très difficile à atteindre ou dans ses goûts, soit c’était un choix de vie volontaire. Ça ne me regardait pas de toute façon ; pour le moment du moins. Après l’avoir remerciée, Éliane m’accompagna à la porte et me l’ouvrit. Nous ...
... nous fîmes la bise en nous saluant tandis que je m’engageai dans l’escalier. Ce fut un moment très sympathique, qui me manqua au moment-même où je remis un pied dans mon appartement. Ah, la joie du froid… J’avais perdues là-bas trois heures de travail, bien que l’on ne puisse pas parler de « perte » d’un point de vue personnel. Le rattraper me fit donc coucher tard, très tard. Et une fois dans la couette glacée, malgré une douche brûlante pour compenser, je repensai à Éliane. À sa beauté digne des contes les plus oniriques ; son sourire ravageur, sa courbe svelte et nette. Pour la première fois depuis longtemps, une femme me donna une « vraie » érection pour ce qu’elle était ; ma voisine n’avait pas besoin d’être nue pour me séduire et me donner envie. C’est alors que je me mis à dire, d’une voix très basse et souriante : « Tu ne m’en voudras pas, Éliane… Ça ne fait de mal à personne. », et ma main à caresser doucement ma verge, en m’imaginant arriver chez elle et l’embrasser, tels des amants. La caresser vigoureusement sur tout le corps, sur les fesses, sur les seins… Y donner des baisers aussi, les pétrir… Puis éveiller sa vulve avec les doigts et avec la langue avant d’enfin la lui honorer et nous faire du bien tous les deux, dans plein de positions. Mon manque de sexe s’accompagnait d’une certaine déraison : cette femme et moi ne nous connaissions que depuis même pas douze heures, elle n’avait rien d’allumeuse ni de « chaudasse » et pourtant je la voyais déjà comme une ...