1. Gaëlle, ma fille unique (2)


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... s’installer dans la chambre nord, à l’étage, celle qui donne sur le jardin derrière la propriété. J’aurais celle qui donne sur la cour. Il fait un peu frais en cette saison pour aller s’immerger. Mais cela ne décourage en rien Gaëlle, qui, après avoir défait sa valise, se précipite en maillot, serviette à la main, vers l’eau vive. Il se fait tard et je reste dans la cuisine, commençant à préparer le repas pour ce soir. De la fenêtre, je peux apercevoir mon trésor barboter, comme quand elle était gamine. Mais elle a bien grandi depuis. Elle est là, dans son maillot une pièce bleu marine, à moitié immergée dans l’eau claire. Mon regard ne peut se détacher d’elle, magnifique ondine évoluant gracieusement dans le torrent. Tous ces gestes sont d’une telle volupté, d’une touchante grâce. Je ne sors de ma torpeur qu’au moment où ma fille décide de rentrer se réchauffer près de la cheminée, dans le séjour. Après le repas, fatigué de la route, je décide d’aller me coucher. Gaëlle, vêtue d’une simple tunique et affalée dans un des fauteuils, a le nez plongé dans un livre. Je laisse ma fille à sa lecture au coin du feu, lâchant juste un soupir, de consternation probablement, de frustration, sûrement. C’est la tête bien calée dans mon oreiller, pris dans un demi-sommeil, que me reviennent les images du corps de mon enfant, nue, sous la douche, puis dans cette rivière. Je me mets à voir sa svelte stature, ses formes graciles de jeune adulte, son pubis lisse, sa gorge orgueilleuse sur ...
    ... laquelle venait glisser l’eau fraîche. Je me sens alors comme enivré par les interdites scènes. Plus j’y pense et plus je m’en veux. Mais je ne peux le contrôler. Que nenni, il me faut être honnête avec moi-même : depuis l’incident, je ne veux surtout plus le contrôler, ce désir ardent qui brûle en moi. Le bruissement des marches dans l’escalier, Gaëlle gagnant sa chambre, me remet les idées en place. Il faut que je dorme. Impossible. Un deuxième grincement se fait entendre. Quelqu’un descend. Ma fille a oublié quelque chose en bas, son livre probablement. J’ois un léger couinement : des gonds mal huilés. C’est la porte d’entrée qui s’ouvre. La nuit, je la vois par la fenêtre, est sans nuages. La lune et les étoiles brillent sur la voûte céleste, une vision point dérangée par la pollution lumineuse de la ville. Gaëlle est sortie prendre un peu l’air. Une pensée étrange me traverse, une irrésistible envie de l’épier, de capter, ne serait-ce que quelques secondes, son image. Je résiste un court moment. Je me dis qu’il faut que j’arrête d’être si peu correct envers la chair de ma chair. En vain. Je me lève doucement, écarte un peu plus les rideaux. Elle est là, assise sur une des pierres servant de sièges dans la cour. Elle regarde le firmament. Les rayons sélénites donnent à son teint une étrange clarté et se reflètent dans ses longs cheveux cuivrés. Elle est d’une beauté diaphane, avec un brin de mélancolie dans l’expression de son visage. Après quelques minutes, elle se lève en ...