Gaëlle, ma fille unique (2)
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... direction du cours d’eau. Un regard à droite, un regard à gauche et voilà qu’elle fait glisser sa tunique le long de son corps élancé. Mon sang bouillonne. Je me fige. Je peux voir son dos, magnifique, ses douces fesses, ses jambes oniriques. Elle se fait un chignon et entre petit à petit dans l’eau. Cette vision idyllique, qui va durer plusieurs minutes, m’est donnée comme un cadeau des dieux. Tout en continuant à regarder cette ondine barboter, je rapproche une chaise de la fenêtre d’où j’ai une vue imprenable sur la scène que mon ange m’offre à son insu. Je m’assieds afin de profiter plus agréablement du spectacle, la verge fièrement tendue à la main. Mon trésor se laisse emporter par le courant, fait quelques mouvements, imprime à l’eau les ondulations de ces caprices. Je fais de même avec mon membre. Elle ramasse quelques pierres au fond du lit de la rivière, les examine en les portant au ciel au-dessus de sa tête, me donnant ainsi à admirer ses minces bras, ses aisselles, ses seins tendus. Tout en elle sonne comme une provocante nymphe tentant d’attirer son amant à quelques jeux mortels. Et moi, faible humain, je me laisse happer par cette enchanteresse. Après quelques allers-retours d’une berge à l’autre, elle sort de l’eau et s’allonge dans l’herbe, le corps encore trempé de son escapade. Je reste là, à la vitre, une main sur mon gland gorgé de désir. Gaëlle risque d’attraper froid, et dans d’autres circonstances, je me serais précipité avec une serviette ou une ...
... couverture. Le dois-je, quitte à révéler mes actes pervers ? La question trouve brusquement une réponse inattendue. Ma fille vient tout juste de trouver un autre moyen de se réchauffer. Ses mains parcourent dorénavant son corps, s’attardant sur ses tétons raidis par le froid mordant, et entre ses cuisses généreuses. La tête en arrière, elle laisse transparaître son plaisir. Je ne peux qu’imaginer les phalanges de ses doigts fluets, visitant sa caverne aux merveilles et son taquin gardien... Je redouble d’excitation alors qu’elle est en pleine extase, se donnant aux éléments. Cela ne dure pourtant qu’un bref instant. Trente secondes plus tard, la voilà rentrée. J’entends les gonds crisser à nouveau et la serrure s’enclencher. La première marche grince, la deuxième aussi, puis une troisième et ainsi de suite. Pourtant, je ne l’entends pas rentrer dans sa chambre. Je suis prêt à jurer que Gaëlle est derrière ma porte. J’ai le cœur qui bat à tout rompre. Doucement, sans un bruit, je me faufile vers mon lit et me glisse sous les couvertures, entièrement nu, ma virilité toujours active. Tout en essayant de percevoir quelque chose, j’attends. Mais la seule chose que je suis capable d’entendre, ce sont les battements de mes veines le long de mes tempes. Et une respiration. Sans nul doute, ma fille attend derrière ma porte. La poignée tourne. Je ne sais plus si cela est réel ou le fruit de mon imagination galopante. Ai-je basculé dans le rêve depuis tout à l’heure ? Non. Gaëlle s’arrête ...