1. L'apologie d'un marabout en toc massif


    Datte: 04/07/2018, Catégories: fhhh, inconnu, religion, nympho, grossexe, fépilée, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, humour,

    Du haut de mes vingt-six ans, avec mes yeux bleu gris vert, mon mètre quatre-vingt, mon trente-sept de pointure, mon quatre-vingt-dix C, la fermeté de mes seins en poire, mes longs cheveux blonds qui tombent sur mes fesses trop légèrement bombées, j’ai quelque arguments pour faire se retourner les hommes… Mais je peux vous assurer que j’ai le sentiment profond d’être d’une naïveté parfois inqualifiable. Je vous passe les paris stupides mais trop souvent sexuels de mes camarades de fac, les « Je vais mourir si on ne couche pas ensemble » auxquels je croyais encore, il n’y a pas si longtemps. Mais voilà ma dernière jobarderie ; d’une nature plutôt généreuse, ayant changé mes oreillers sur les conseils de mon allergologue, j’avais décidé d’aller apporter les vieux dans un squat, lequel se trouve sur mon chemin pour aller prendre mon bus. 7 h 02, mon œil s’ouvre et imprime la lueur rougeâtre de ces chiffres. Il est parfois difficile de se lever, tant j’étais bien dans les bras de mon rêve. Le téléphone retentit, je me lève et décroche : — Allô ?— Patricia, c’est Alex ! Je n’aime pas ce tee-shirt, et je te préfère nue !— Mais où es-tu ? Tu me vois ?— Oui, j’ai installé une caméra sur ton bureau en mode 24 heures sur 24.— Ce n’est pas possible, je suis dans ma chambre !— I tease you !!!— Tu es bête ! répondis-je à ce rire hilare qui résonne de ma naïveté— Non, je t’informe que tu as rendez-vous avec tes deux clients suisses ce matin… La conversation professionnelle s’éternise ...
    ... un peu, tout en rêvassant aux yeux d’Alexandre… (Qui eux ne me voient pas, malheureusement !!) Mon inattention perpétuelle me fait remarquer que j’ai mis un sucre de trop dans mon thé. Ce matin, je me dois un peu d’émoustiller ces p’tits Suisses, maquillage discret, chignon maintenu avec mes piques fétiches, vêtue d’une jupe écossaise, un peu courte certes, une culotte en dentelle assortie à mes bas aux losanges ajourés en croisillon qui mettent en valeur mes longues jambes. Un soutien-gorge noir ouvert avec un effet push-up qui ouvre la veste de mon tailleur tristement gris mais suggérant un décolleté des moins suggestifs ! La touche finale, mes hauts talons, qui relèguent même les plus grands à une taille moyenne et me donnent une assurance sans faille. Ça ne laissera aucun doute sur l’effet que je devrais leur produire ! Avant de partir au travail, je remarque la silhouette de ma cambrure penchée dans le reflet du miroir réajustant la housse de mon futon japonais, une position qui donnerait des idées à n’importe quel saint… Idées que je partage un bref instant et fais disparaître d’un geste vif en me relevant. Au rez-de-chaussée, après avoir descendu les escaliers des deux étages, je me rends compte que j’ai oublié les coussins, que je remonte chercher. Trouvant ces quatre coussins bien trop encombrants, je décide de n’en prendre que deux. Je ferme la porte, décide de prendre l’ascenseur, et esquisse un léger sourire dans le miroir en appuyant sur le bouton, contente de ...
«1234...7»