L'apologie d'un marabout en toc massif
Datte: 04/07/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
religion,
nympho,
grossexe,
fépilée,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hdanus,
humour,
... peut-être noir et or qui orne sa tête paraît ridiculement petit, il doit mesurer environ deux mètres et sa main droite gigantesque éclairée par un bougeoir en cristal de sel donne un ton rose orangé à la pièce : — Je t’attendais ! J’essaye de balbutier quelques mots pour lui faire comprendre sa méprise. Je suis interloquée par le jeune éphèbe derrière moi, qui me demande de me prosterner devant « le prophète ». À cet instant précis, j’étais entre deux eaux, celle de m’en aller et celle d’une curiosité qui me titille d’en savoir plus sur ce « prophète ». Légèrement envoûtée par cette odeur que je crois être de l’encens, je m’incline, en posant mes deux oreillers devant moi, en relevant la tête, je m’aperçois que, tout prophète qu’il est, ces yeux sont plongés dans l’humanisme de mon décolleté. — Alice, tu viens chercher ton destin, que je te propose de connaître, le désires-tu ? La confusion d’identité ne faisait aucun doute, comme les eaux du Saint-Laurent en hiver sont gelées ou que ce mage manque totalement d’inspiration ou de guide. Indécise sur l’envie de savoir quoi que soit, mais l’envie certaine de vouloir offrir mes oreillers devenait de plus en plus improbable, ma vue s’habituant à la lumière tamisée des riches coussins cousus de fil d’or allait rendre ma charité bien ridicule. Un « Oui » velléitaire, habillé par la même droiture que la fumée s’extirpant du narguilé, qui trône au pied de ce « prophète ». — La séance va pouvoir commencer. Prépare-la, Abdourakhane ...
... ! ordonne-t-il. Mes quelques protestations n’eurent aucun effet sur ce jeune éphèbe qui me tendit une crinoline blanche à enfiler et me présenta un paravent logé dans un coin, mais unique par le fait de volets mobiles formés de lamelles verticales, me permettant d’entrevoir la pièce. J’entrevoyais les yeux mi-clos du prophète, entre le zist et le zest derrière ce paravent à savoir si j’allais me déshabiller… devant ce jeune homme, qui ose quelques œillades pour observer le bon déroulement de mon effeuillage. Devant cette situation énigmatique et stressante, la pénombre de ce coin reclus me rassure, mon penchant exhibitionniste me persuade de continuer. J’ôte mes hauts talons pour gagner en stabilité, j’ouvre la veste de mon tailleur qui recouvre ma jupe écossaise, mes seins relâchés par la pression de ma veste se dévoilent à ce voyeur qui se retourne pour éviter mon regard. Je fais glisser ma veste, que je pose sur une tablette en bois vernis. Je tente d’enfiler la tunique lorsque mon pseudo-protecteur enraye ma progression : — Madame Alice, pour la séance, tu dois être pure. L’incompréhension dans mon regard doit se lire parce qu’il renchérit. — Tu dois être nue sous la trabea ! Je suis embarrassée par l’idée de me déshabiller entièrement, mes mains sont blotties contre ma poitrine, je sens à ce moment que la situation m’échappe, mais décide de poursuivre pour faire bonne figure. Je laisse choir au sol la tunique, me tourne face au mur pour enlever mon soutien-gorge, que ...