1. L'apologie d'un marabout en toc massif


    Datte: 04/07/2018, Catégories: fhhh, inconnu, religion, nympho, grossexe, fépilée, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, humour,

    ... l’aumône et du confort que ce modeste don apportera ! Il fait beau, je ferme les yeux en ressentant la chaleur des rayons du soleil, tout en marchant vers ce squat. Je suis devant un mur de fer ondulé qui se dresse devant moi, le passage obligé exigu entre deux tôles me fait prendre conscience de ma tenue inappropriée. Le décor y est affligeant de tristesse, le sol est jonché de détritus, de prospectus et de gravats, les murs de la bâtisse ressemblent aux maisons grecques qui ne crépissent pas pour ne pas payer leur taxe d’habitation. Il y a une vingtaine de mètres à traverser, c’est un peu le parcours du combattant avec mes hauts talons. Alors que j’arrive devant le porche, un petit garçon noir avec une coupe de cheveux digne des photos de Michaël Jackson à 10 ans, est assis sur les marches du perron et me sourit. — Bonjour petit ! Où est-ce que sont tes parents ? Je sens bien que mon style « BCBG, blonde UMP » l’impressionne. Il reste muet et pour seule réponse, il tend le bras en direction du haut de ce petit escalier qui donne sur une petite terrasse. Tout en montant, j’imaginais une piscine comme aire de jeux pour ce petit garçon, au lieu de ce terrain vague. Ce promontoire affiche un semblant d’ordre en opposition à ce que je viens de traverser, une porte largement ouverte exprime des murs de parpaing sans fioriture, ni tags. Je m’avance dans un dédale de couloirs à pas de loup, telle une Indienne sur le sentier de la guerre, j’entrevois une lumière dans cette ...
    ... semi-obscurité. L’ouverture sans encadrure, révèle une pièce d’hommes majoritairement noirs en djellaba, assis de part et d’autre le long du mur, tout autour de la pièce, sur des chaises en paille. Leur tête rivée au sol, comme s’ils attendaient dans la salle d’attente d’un praticien. À cet instant, le plus jeune, âgé d’une vingtaine d’années, ouvre un large sourire, et dans ce silence assourdissant il lance un appel dans une langue inconnue, certainement au maître des lieux. Les hommes me regardent, perplexes et surpris, avec mes deux oreillers pour seule protection. Et avant que je ne puisse expliquer la raison de ma venue, une voix solennelle émanant d’une pièce voisine m’interpelle : — Viens ! Je traverse la pièce, sous le regard interloqué de ces figurants, dans le dessein de rejoindre l’inconnu qui m’interpelle, passage que je sens hautement détaillé. J’entrouvre une draperie confectionnée de patchwork aux motifs africains, et m’introduis, suivie du jeune garçon. Légèrement déséquilibrée par l’épaisse couche de tapis au sol fondant sous mes talons. J’avoue que je suis impressionnée par l’ambiance qui règne dans ce boudoir. Dans une pénombre presque religieuse, je devine une pièce richement vêtue de panneaux muraux peints aux couleurs du berceau de l’humanité. Une petite estrade arrondie habillée de poufs colorés, qui estompait presque la corpulence rare d’un colosse massif couleur ébène, allongé en son centre. Vêtu d’un sarong orangé que rappelle la sagesse des bonzes, son kufi ...
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