1. Bienvenue en Hollande


    Datte: 05/07/2018, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... demande de rester. Je ne voulais pas la prendre, je voulais qu’elle se donne, qu’elle me choisisse. En réalité, cette fière attitude servait à me cacher à moi-même le fait que j’étais d’une timidité maladive. Complexé par mon manque d’expérience sexuelle, j’étais en même temps soucieux de ne pas lui donner l’impression d’être un obsédé ne rêvant que de la sauter. Et à chaque fois, je revenais en me traitant d’idiot, me demandant si elle ne rejoignait pas ensuite un amant secret, ou si elle se caressait en pensant à moi. Je la voyais alors, nue, allongée sur son lit, jouant avec un sextoy, un gode aux dimensions invraisemblables et se donnant du plaisir jusqu’à l’aube en l’enfonçant dans tous ses orifices. Malsain et diablement excitant. Aucun de nous ne faisait le premier pas, entretenant ainsi une ambiguïté qui devenait un jeu pervers. D’autant que notre intimité ne cessait de grandir. Elle réussit l’exploit de me faire faire du sport après le boulot. Prétextant qu’elle se sentait ainsi plus en sécurité (il y avait eu plusieurs agressions dans la région de Lille), elle me demanda de l’accompagner au footing le dimanche matin, ajoutons la musculation et la natation deux fois par semaine, j’avais eu plus d’activités physiques en quelques mois que dans les quinze dernières années. J’avais même tenté un peu d’équitation pour lui plaire. Je devenais un peu plus svelte, et un beau matin devant la glace, je me surpris même à découvrir un début d’abdominaux. Était-elle un Pygmalion ...
    ... version féminine ? Voulait-elle d’abord se donner le temps de me transformer avant de m’ouvrir son lit ? Elle tenait à moi, je le savais. Je tenais à elle, elle le savait mais je ne comprenais pas ce qu’elle voulait. On faisait des courses ensemble, du sport, on allait à la plage. Tout, sauf l’essentiel. Un jour, alors qu’elle était fatiguée et stressée, au bord des larmes en raison de la tension au boulot, je fus même amené à lui prodiguer un massage. Elle était là, à moitié nue sur son lit, à plat ventre, un drap recouvrant la partie inférieure de son corps, ou plutôt le soulignant. Je voyais la courbe de sa cambrure, la finesse de sa taille, mes mains effleuraient ses seins. N’importe quelle personne nous voyant à ce moment aurait pensé que c’était le préliminaire d’un bon moment entre deux amants. Eh bien, croyez-moi si vous le voulez. Il ne s’est rien passé. Rien ! Tout homme aurait bandé comme un âne, j’en fus incapable. Confusément, j’attendais un mot ou un signe mais elle se contentait de sourire en fermant les yeux. J’aurais dû embrasser son cou, déposer un baiser au creux de ses reins ou délicatement tirer sur l’élastique de cette petite culotte de dentelle blanche que je devinais. Oui, j’aurais dû… quitte à prendre une paire de baffes. Au bout d’un moment, elle me remercia et me dit d’arrêter. Et je l’ai fait. Quand j’y repense, je me dis que l’invitation était manifeste mais j’étais tellement timide que je ne sus pas la voir. Elle dut être mortifiée et vexée mais ...
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