Bienvenue en Hollande
Datte: 05/07/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... n’en dit rien. Un copain m’avait dit un jour : — Une femme te pardonnera toujours d’avoir tenté ta chance mais elle ne te pardonnera jamais de ne pas l’avoir saisie si elle te l’offre. Cela m’avait laissé perplexe mais il avait raison. En fait, sans le vouloir, j’avais été un goujat, mais il me fallut du temps pour l’admettre. J’avais voulu respecter la fille que je désirais, je n’avais su que la blesser. Et elle me le fit payer très cher mais ça aussi je ne l’ai compris que plus tard. Elle sortit quelques semaines après avec un homme que je ne vis jamais mais dont une de nos collègues me parla. Cela ne dura pas longtemps, « relation peu satisfaisante » se contenta-t-elle de me dire. Cathy avait immédiatement couché avec lui. C’était purement physique, sexuel. Et puis cela s’était arrêté là. Seigneur, ce que j’ai pu haïr ce type. Et l’envier. Lui au moins n’avait pas hésité comme un crétin. Cette fois-ci, il fallait que je saute le pas, mais elle ne m’invitait plus chez elle, plus de piscine, de plage, de sport. C’était trop tard, fini. Nous n’étions plus que de bons copains de travail ; cette irritante et délicieuse ambiguïté avait disparu. Par fierté, je continuais à faire de l’équitation alors qu’elle ne venait plus. Je me mis aux sports de combat pour me défouler. On continuait à prendre un café ensemble mais je sentais bien que quelque chose s’était cassé. J’avais le goût amer d’un irrémédiable échec. Cela m’était déjà arrivé trois ans plus tôt quand j’avais voulu ...
... devenir officier de réserve. J’avais toujours rêvé d’être un citoyen et un soldat et de servir. Un intello tout en étant un guerrier. Après les tests et au vu de mes résultats, le lieutenant qui m’avait reçu m’avait simplement dit « vous n’avez pas une intelligence utile à l’armée », cette fois-ci c’était la femme que j’aimais qui ne voulait pas de moi. Désespérant. Raison de plus pour ne pas laisser tomber. Mais là j’étais quand même au fond du trou. Et ce fut François qui me lança la corde pour remonter. Les mois passaient et je commençais à très sérieusement redouter de la voir partir, à la faveur d’une mutation vers des cieux plus cléments et d’autres amours. D’un point de vue statistique, cela se rapprochait de jour en jour. Et au lieu de foncer, je reculais, frustré à l’idée de me lier à une fille qui partirait de toute façon. Vint un nouveau printemps et les envies de week-end. Nous avions vu tous les trois une comédie sympathique, une bande de potes partis à St-Tropez qui louaient une villa pour faire la fête, et se détendre, sans arrière-pensée. Pourquoi ne pas aussi se changer les idées ? St-Trop, c’était bien loin mais les Pays-Bas nous tendaient les bras. C’était le moment où les champs de tulipes s’offraient à la vue admirative des touristes, autant y aller. François disposait d’une grande voiture et se proposa de nous y amener. Je me chargerais de réserver les chambres. Après un temps d’hésitation, elle accepta et moi aussi. Et nous partîmes finalement dans la bonne ...