1. Bienvenue en Hollande


    Datte: 05/07/2018, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... humeur. Ce fut en arrivant à l’hôtel que les choses se compliquèrent. Le réceptionniste était navré, Il y avait eu une confusion dans les réservations. La tenue d’un congrès avait amené la direction à changer les programmes. Au lieu de trois chambres « single », nous avions une chambre familiale avec trois lits. Évidemment, nous pouvions refuser, ils nous rembourseraient sans problème avec une nuitée gratuite la prochaine fois en prime. La sagesse aurait dû nous amener à accepter l’offre. Mais nous étions à Amsterdam, personne ne nous connaissait et n’allait jaser. Nous acceptâmes. Une fois nos bagages déposés, chacun choisit sa place. François et moi prenions la pièce avec les deux lits des enfants, Cathy prenait la chambre parentale. En tout bien tout honneur. Ainsi fut fait et en avant donc pour la découverte de la ville. J’épargnerais le dépliant touristique mais l’ensemble valait le détour par son côté insolite. Et que dire du « musée du sexe » ? Ce fut Cathy qui y entra la première, au pas de charge. Je la retrouvai devant une série de photos franchement pornos évoquant toutes les manières possibles et imaginables d’avoir des relations sexuelles, y compris la zoophilie. Le tout était présenté comme une sorte d’initiation à grands renforts de références culturelles (Léda et le Cygne, la Belle et la Bête, Europe et le taureau, etc.). Elle semblait fascinée par une image montrant une partie à six. Couchée sur le dos, une jeune femme se faisait sodomiser par un homme ...
    ... placée sous elle, pénétrer par un deuxième agenouillé en face. Le troisième lui enfonçait un sexe démesuré dans la gorge, les deux derniers se faisaient branler sans vergogne. Obscène, mais elle n’en détachait pas les yeux, « ils sont sacrément bien membrés, non ? ». Était-ce un fantasme ? En tout cas, le ton était donné. Cela me laissa songeur. On se promena, et en fin de journée, François fit des emplettes pour le soir. Revenu dans la chambre, il sortit de son sac à dos du champagne, un bon whisky et de quoi faire quelques pétards. J’ai toujours eu horreur de la fumette mais Cathy et lui ne s’en privèrent pas. On mit un peu de musique. Son verre dans une main, son joint dans l’autre, Cathy se mit à danser en se déhanchant au rythme de la chanson. J’étais hypnotisé… et trop mauvais danseur pour oser me joindre à elle. En plus, si je n’avais pas fumé, j’avais trop bu. François, lui, n’hésita pas. Il se rapprocha. Et il voulut se coller à elle. Ce qui se passa ensuite me laissa pantois. Au lieu de lui tendre les bras comme je m’y attendais, elle le repoussa en l’insultant. En fait, je découvrais que cette jolie fille se comportait comme un charretier quand elle avait un verre dans le nez. Son vocabulaire aurait fait fuir une escouade de légionnaires. Le ton devenait franchement déplaisant. Combiné à la nausée que je commençais à ressentir, cela me donna furieusement envie de me barrer. j’explosai : — Vous m’emmerdez tous les deux ! Faites l’amour, pas la guerre ! Tout transpire le ...
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