1. Bienvenue en Hollande


    Datte: 05/07/2018, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo,

    ... sexe dans cette foutue ville. Baisez un bon coup et crevez l’abcès au lieu de vous engueuler comme un vieux couple. Vous avez envie l’un de l’autre, alors allez-y et ne vous en faites pas pour moi. Je suis soûl et j’ai envie de gerber. Bonsoir ! Et je m’en fus, aussi digne que possible, même si ça tanguait un peu, priant les dieux pour ne pas vomir sur le tapis du salon ou le couvre-lit de la chambre. Désormais, je saurai que pour moi whisky et champagne ne faisaient pas bon ménage. En même temps, j’étais assez lucide pour avoir l’estomac tordu de jalousie. Je m’écroulai sur le lit et m’endormis aussitôt du sommeil du juste, un sommeil peuplé de merveilleuses créatures, aussi perverses que sensuelles et dotées d’un fort accent batave. Ce fut ce détail idiot qui me tira de ce sympathique songe érotique. Il faisait encore nuit. L’aube allait bientôt se lever. Je constatai alors que François ronflait joyeusement, à côté, sur son pieu. Cela voulait-il dire que… ? Je voulus en avoir le cœur net et je passai, sur la pointe des pieds, dans la pièce d’à côté. La lueur des lampadaires éclairait en demi-teinte la pièce. Cathy était là, assoupie elle aussi. En position fœtale, ses longues jambes repliées sous sa poitrine. Tee-shirt et petite culotte de rigueur. Il ne s’était rien passé alors ? Je m’assis sur le lit et caressai doucement ses cheveux blonds, j’admirai l’ovale de son visage, le contour de sa bouche. Le supplice de Tantale dans toute sa splendeur. L’objet du désir à ...
    ... portée de main et qu’on ne peut atteindre. La harengère des halles était redevenue la princesse au bois dormant. Qu’est-ce que je pouvais avoir envie d’elle… Elle ouvrit un œil, puis deux et se retourna sur le dos. Elle s’assit en tailleur en face de moi. — On ne l’a pas fait, tu sais. Il était trop mal. Après ton départ, on s’est senti vraiment idiots. Ça a coupé net notre dispute. Lui aussi est parti se coucher et moi, je me suis retrouvée à gamberger toute la nuit en fixant le plafond. Je vous aime tous les deux, pour vos différences. Lui pour son petit côté macho, toi pour ta fausse gentillesse qui cache en fait un type plus déterminé qu’on le pense. Mais c’est toi que je préfère. Pardonne-moi. Je… je me suis comportée comme une vraie salope. Mais vous êtes deux cons, vous vous êtes amusés avec moi comme avec un objet ! Une petite larme commença à briller, l’arme fatale pour culpabiliser. Elle me présentait comme un prédateur mais c’est moi qui allais me faire dévorer, cru et saignant. Comment diable répliquer ? Tant pis, je me lançai : — Tu sais très bien que je ne dirai jamais ça de toi. En fait l’imbécile c’est moi. J’ai cru que ce qui m’amusait, c’était séduire plutôt que coucher. J’ai agi comme ça parce que je craignais de te voir partir. Et puis… je ne suis pas un bon amant mais je tiens à toi plus que tout. Et tu peux être contente. T’étais sacrément provocante. Dans le genre allumeuse, on ne fait pas mieux.— C’est toi que je voulais provoquer, pour que tu réagisses ...
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