1. Giséle à temps perdu (1)


    Datte: 05/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et voulait une autre série de photos. « Cette fois-ci il y a plus d’argent à prendre lui annonça t-il, mais c’est plus osé comme photos » dit Blanquart en l’accueillant. «Mon client veut en voir plus, toujours la même tenue mais avec seins et sexe apparents. C’est mille euros » Gisèle tergiversa. 1000 euros, c’était pas mal d’argent mais on s’éloignait de la photo de charme... Blanquart reconnut les faits, mais il ajouta qu’il connaissait bien ce client et qu’il y avait pas mal d’argent à se faire avec lui en passant à des clichés plus hards. Comme elle était toujours ambivalente, Gisèle demanda à réfléchir. Mais finalement le fait de penser qu’un étranger allait la mater et sans soute se masturber sur son image l’émoustillait et emporta la décision. Celle de s’exposer au photographe aussi. Elle avait l’impression qu’elle connaissait maintenant la routine du studio. On reprit les mêmes ingrédients que pour la première prise, même décor, même déguisement. La séance commença par des prises banales puis Blanquart lui demanda d’ouvrir son chemisier tout en regardant fixement l’objectif ; un à un elle dégrafa les boutons. Elle dut ensuite écarter les pans de la chemise pour montrer sa poitrine, enlever son soutien gorge et prendre ses tétons entre ses doigts en baissant les yeux. Bonne élève elle exécutait fidèlement ce que lui demandait le photographe. Elle était assez gênée au début mais peu à peu la situation, le fait de suivre ces ordres et de se dénuder peu à peu l’ excita. ...
    ... Elle se mit torse nu, de dos puis tourna sur elle-même, fit glisser sa culotte sur ses genoux, passa sa main entre ses cuisses pour masquer son sexe et finit face caméra les jambes écartées, la tête penchée en arrière. 1000 euros et une demi-heure plus tard elle était libre. Cette expérience l’avait émoustillée et elle se caressa longuement avant de s’endormir. Il lui avait fallu toutes ces années pour découvrir à quel point elle était exhib. Il y eut d’autres séances pour un ou deux clients supplémentaires, soubrette une fois, flic la seconde. Elle avait compris le manège de Blanquart; il vendait d’abord une série soft pour aguicher le client puis une hard quand cela marchait. Gisèle empocha 1300 euros dans sa tenue de fliquette, mais pour çà, elle dut sucer la matraque après s’être complètement dénudée, puis la faire aller et venir entre ses ses seins et ses jambes. Cela durait maintenant depuis un peu plus de trois mois quand Blanquart l’appela. Nouvelle proposition. « Gisèle, j’ai une proposition plus importante à te faire : Un film ! J’ai un copain qui est spécialisé dans les films amateurs avec des matures. Je lui ai montré ton book et ça l’intéresse. C’est tourné en quelques heures et il est prêt à mettre 3000 pour t’avoir. Il travaille pour un producteur aux USA, c’est projeté là bas, qui va te reconnaître ? » ils se tutoyaient maintenant. Giséle se demanda déjà qui pourrait la reconnaître ici, à part sa coiffeuse et sa boulangère... « Si tu acceptes, tu pourras faire ...
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