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Giséle à temps perdu (1)
Datte: 05/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe
Giséle s’ennuyait. A 64 ans, seule, retraitée, elle n’avait plus beaucoup d’occasions de se délurer. Elle avait utilisé des sites de rencontre pour de brèves rencontres la plupart du temps sans saveur. Les types la baisaient une ou deux fois à la va vite et puis plus rien. Elle était là, devant la glace à s’observer. 1M65, 50 kgs, le cheveu gris taillé au carré, elle était « fit » selon le terme à la mode. Un 85B avec des seins en pommes, des hanches fines et un petit cul rebondi sur des jambes savamment entretenues par le jogging qu’elle s’imposait quotidiennement. Elle rêvait de quelque chose d’original, de spécial, qui pourrait lui procurer du plaisir. Lassée des sites classiques elle surfait maintenant sur des sites pornos et découvrait ainsi sans cesse de nouvelles bizarreries sexuelles. « C’est fou ce que les gens vont imaginer » se surprenait-elle à penser souvent. Voyeuse, elle mettait en scène divers fantasmes mélangeant inconnus, lieux publics et exhibitions pour se masturber régulièrement. Sa recherche évolua naturellement vers des forums qui traitaient de ces sujets. Elle découvrit ainsi des personnages qui partageaient les mêmes secrets. Parmi eux Walter retint son attention. Il se disait voyeur, cérébral et semblait bien connaître ce milieu où pouvaient se réaliser les rêves les plus secrets. Il écrivait avec détail des endroits et des scènes auxquelles il avait assisté. Cela plaisait à Gisèle et nourrissait copieusement son goût de fantaisie. Ils devinrent ...
... ainsi amis sans se connaître, puis décidèrent de se rencontrer. Walter l’invita au restaurant, c’était un vieillard charmant . Il lui avoua qu’il ne cherchait aucune relation de quelque nature et que son plaisir passait uniquement par les visions qu’il avait de la vie privée d’autrui. Gisèle lui confessa quant à elle son envie de faire vivre quelques uns des fantasmes que sa curiosité lui avait fait découvrir. « Je connais quelqu’un dont je ne vous ai pas encore parlé qui pourrait peut-être... » il n’alla pas plus loin. «Dites ! » osa Gisèle en se sentant rougir « Disons qu’il pourrait sans doute vous aider dans votre démarche...» C’était assez énigmatique mais finalement cela plut à Gisèle. Elle lui signifia qu’elle souhaitait rencontre la fameuse personne. Ils finirent leur repas et Walter sortit de sa poche une carte de visite qu’il lui glissa dans la main en prenant congé : «Si vous voulez franchir le pas, téléphonez lui de ma part » Gisèle jeta un regard à la carte « Roger Blanquart, PRIVATE PRODUCTIONS » et un numéro de téléphone. C’était tout. Gisèle rangea la carte et rentra chez elle. curieuse, elle rechercha sur internet et ne trouva rien. Le lendemain matin elle retrouva la carte et, toujours fortement intriguée, composa le numéro et tomba sur le répondeur. Elle laissa le message se terminer et signifia qu’elle appelait de la part de Walter. Une heure plus tard Roger Blanquart la rappela, lui demandant comment allait ce vieux Walter et se disant malheureusement pressé ...