1. Giséle à temps perdu (1)


    Datte: 05/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... servait à ses prises de vues. Il lui expliqua qu’il fallait constituer un book avec quelques photos fort sobres, lui choisir un prénom, diffuser le tout et attendre qu’un client se manifeste. A partir du souhait du client on établissait un contrat avec un prix et on effectuait la prise de vue. Il lui demanda si elle était d’accord et elle se surprit à répondre oui. Les photos qu’il prit d’elle furent quasiment anthropométriques, face, profil, debout assise, … Elle était venue vêtue d’un pull et d’un jean, qui visiblement ne posaient pas problème pour la séance. Pas d’obligation de sourire, pas de maquillage, nature...Une fois ce travail achevé ils se mirent d’accord sur « Clarisse » pour le prénom et il lui dit qu’il la tiendrait au courant dés qu’un client se manifesterait. Pendant une semaine, rien. Puis un coup de fil. Une touche, un client. Cela excita Gisèle. C’était un peu comme la pêche à la ligne, ce job là. Elle fila au studio. Blanquart l’accueillit en lui disant que son book avait séduit un de ses vieux clients et qu’il y avait 500€ à la clé pour une séance qui lui prendrait au plus une heure. La condition voulue par le client était qu’elle apparaisse en écolière. Gisèle sourit tellement c’était saugrenu. Elle accepta. Blanquart possédait une garde robe impressionnante. Il aurait pu alimenter un théâtre. Il lui trouva une tenue complète qu’il posa dans une cabine. Gisèle garda ses sous vêtements et passa une jupette, un chemisier blanc, un blazer, des mi-bas blancs ...
    ... et des chaussures vernis rouge. Le tout à peu près à sa taille. Quand elle eut fini elle passa au maquillage, rouge carmin pour la bouche, et bleu pour les paupières, plus quelques fausses tâches de rousseur et une perruque à nattes blonde. Pendant ce temps là, le photographe avait créé un fond de bouquins, grâce à une photo projetée sur l’écran et installé un banc et une table de bois, sur laquelle il avait posé quelques crayons et un cahier. Gisèle découvrit le tout d’un air amusé. Il la fit asseoir et commença à prendre des clichés. L’air studieuse, un crayon à la main, la tête penchée sur le cahier. Le crayon porté à la bouche, le regard plongeant dans la caméra. Les jambes légèrement écartées, un sourire aux lèvres. Une jambe remontée sur le banc, la veste échancrée. La même, avec deux boutons ouverts pour le chemisier. Assise sur la table, face à l’objectif les jambes ballantes, le regard rêveur. Et pour finir allongée sur la table, ventre puis dos, la jupette relevée. Gisèle, pardon Clarisse, se surprenait à suivre docilement le photographe qui la menait à sa guise. Elle pensait au type qui allait recevoir bientôt sa commande et cela l’excitait que son image passe entre les mains d’un voyeur. Elle se demandait quel âge il avait et à quoi il pouvait bien ressembler. La séance finie, Gisèle se démaquilla, se changea, encaissa son fric et rentra chez elle. C’était vraiment cool, pensa t-elle. Quelques jours plus tard, Blanquart lui téléphona à nouveau. Le type avait aimé ...
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