Quelqu'un dans mon genre
Datte: 05/07/2018,
Catégories:
fh,
voisins,
amour,
Oral
nopéné,
humour,
... commence à flipper, quand soudain je sens sa main palper mon bras, comme s’il m’avait cherchée dans l’obscurité. — Dav… Sa bouche me bâillonne, m’empêchant de poursuivre. Comme douée d’un instinct propre, elle a directement trouvé le chemin de mes lèvres. La respiration coupée par la surprise, je commence à me débattre un peu… et arrête assez vite parce que… sa bouche est vraiment… vraiment… et sa langue, n’en parlons même pas. — Chut… murmure-t-il, décollant à peine ses lèvres des miennes. Il m’embrasse à nouveau, tout doucement… puis avec plus d’avidité. Et cette fois ses mains s’y mettent aussi… Il me saisit le visage entre ses paumes, caresse mes joues de ses pouces, très tendrement. Oh… mon Dieu… j’adore ça, j’en redemande, et sans réfléchir davantage je me serre contre son corps. Nous sommes mouillés tous les deux et, bon sang, que sa peau est brûlante sous le tissu trempé de sa chemise… — Tu es tellement bandante, dans ton chemisier transparent… chuchote-t-il en abandonnant ma bouche quelques secondes. Putain, j’ai cru que j’allais pas pouvoir me retenir jusqu’ici… J’avais les yeux vissés sur tes seins qui pointent, oh là là, et l’autre qu’arrêtait pas de causer…— Mais…— Tais-toi, tu vas dire des bêtises, je le sens. Je cède. — Continue alors… laissé-je échapper. Il ricane. Pour vous dire dans quel bordel émotionnel je me trouve ? Ben, ça ne me vexe même pas. Connard de voisin, certes ; mais putaiiin… qu’il embrasse bien ! Et le voilà qui caresse mon cou… la naissance ...
... de mes épaules… puis ses mains empaument mes seins, et un brasier infernal s’allume dans mon ventre tandis que la chaleur de sa peau se répand dans ma poitrine. C’est bien simple : à chaque fois qu’il m’effleure, je me retiens de gémir. Comment fait-il ça ? Comment peut-il générer un feu pareil en moi en seulement quelques secondes ? Je savais que j’avais flashé sur lui, mais j’ignorais qu’il détiendrait un tel pouvoir sur mes sens… — Tu me rends fou, Sally… halète-t-il contre mon oreille. Laisse-moi te caresser… Je ne dis rien… Il peut bien penser ce qu’il veut, mon corps entier est une réponse, et frissonne, tremble, suspendu au moindre contact de ses doigts, de ses lèvres… ses lèvres qu’il laisse sensuellement glisser le long de mon ventre. Avec une douceur infinie, David commence à remonter l’ourlet de ma jupe, lentement, lentement… Au passage, ses doigts frôlent la peau fine de mes cuisses nues, m’électrisant comme une démente. J’en peux plus : je pousse un cri de désir. David se fige un instant. Bien que mon cœur batte la chamade, j’entends très distinctement nos respirations pantelantes qui résonnent dans la petite cave. Je l’attends… et comme dans un rêve, David commence à me faire ce qu’il avait promis, précisément, qu’il me ferait si je virais l’autre con avant minuit… * Elle m’a complètement retourné… Son odeur, la douceur de sa peau, de ses mains, de ses cuisses… J’oublie complètement où nous sommes, les raisons pour lesquelles nous y sommes. Je ne songe plus qu’à ...