1. Quelqu'un dans mon genre


    Datte: 05/07/2018, Catégories: fh, voisins, amour, Oral nopéné, humour,

    ... son corps de déesse, et je m’agenouille devant elle, remontant sa jupe et collant ma bouche contre son sexe. Son string est trempé, elle sent bon, et je commence à lécher délicatement sa chatte au travers, tout en m’enivrant de son odeur. — Retire ça s’il te plaît, Sally… Tandis qu’elle s’exécute, je sens la peau de ses jambes et de ses cuisses qui frôlent mon visage. Je bande comme un taureau, mais pas question de faire ça ici, comme un sauvage, dans cette cave sordide. Alors je lui offre ce que je lui ai promis quelques heures auparavant… Ma langue s’introduit dans son intimité, s’enfonce le plus profondément possible, puis ressort pour caresser lentement, tendrement, sa fente jusqu’au clitoris. Et je lape sa mouille, avidement, comme un mort de soif, accélérant la cadence, ralentissant, caressant ses fesses, toujours à genoux dans le noir. Je la sens frémir de plus en plus et gémir de plus en plus fort. J’ai le visage complètement trempé et les genoux qui commencent à me faire mal. Besoin de changer de position… — Sally, tu…— N’arrête pas, bordel ! s’exclame-t-elle en m’empoignant les cheveux et en plaquant mon visage contre sa chatte. Lèche, lèche… plus fort, plus haut… Je continue, bien obligé. — Encore… encore… Ouiiii ! Comme ça, continue ! Ouiiii ! Elle a crié comme une possédée. Tellement fort qu’on a dû l’entendre jusque dans la rue… Je sens ses jambes qui tremblent sous mes mains. Je reprends ma respiration. Quelques instants s’écoulent dans un mutisme complet, ...
    ... puis je l’entends prendre une profonde inspiration et murmurer d’une voix tremblante : — David… Qu’est-ce que tu viens de me faire ?— Ce que je t’avais promis, ma belle.— C’est pas un cunni, ça…— Ah bon… C’est quoi ?— C’est… Je sais pas… Autre chose, en tout cas…— Eh bien, tu me diras quand tu auras trouvé…— Écoutez-le… Cette petite voix faussement modeste, laissant transparaître une gigantesque fatuité…— Mouais… J’avoue, je ne suis pas mécontent de la performance…— Tu sais que tu es un connard ? Oups, elle a l’air furieux, quand même. Dommage que je ne puisse pas voir son expression. À cet instant, un vacarme effroyable résonne dans l’escalier de la cave, et les murs renvoient la lumière aveuglante des lampes-torches. Les pompiers. — Tout va bien ici ? On a entendu des cris…— Ça va… Je suis dans ma cave. Une lumière éclaire alors l’intérieur de mon réduit. — Ah, c’est vous Monsieur Nolant… Tout va bien ?— Oui, oui, ne vous en faites pas.— C’était quoi, ces cris ?— Une araignée… Mais je l’ai renvoyée en enfer.— Ah, j’avais pas vu la dame… Bonne soirée, Monsieur Nolant.— Tu connais les pompiers ? s’étonne Sally.— Oui, un peu… On se croise quelquefois. Nous remontons dans le hall de l’immeuble. Tout a l’air en ordre désormais, les pompiers ont autorisé les gens à rentrer. Le « vigile » me fait signe… — Tu en as pour longtemps, David ?— Non, rassure-toi… Mais je le connais, c’est un copain. Il a besoin d’un conseil.— Écoute, je suis trempée, là…— Je sais.— T’es con… Je remonte pour ...
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