Mal de mer
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
bateau,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
confession,
... la verge. Elle sait ce qu’elle doit faire, ou bien dois-je dire elle a envie de faire. Sa bouche est une gourmande qui, sans besoin d’aucune aide, sait s’emparer du bout endormi. À quatre pattes devant sa proie, elle est bientôt rejointe par Brett qui a pris la place de son patron, place moins confortable mais néanmoins appréciée par Léa. Ainsi, pendant quelle gobe la tige souple, Brett, à genoux derrière elle, s’occupe de sa chatte et de son cul. Combien de temps le trio s’active-t-il ? Enfin, quand je parle du trio, je pense Léa et Brett car l’homme dont la queue grandit dans la bouche de Léa se laisse faire. Sa contribution apparaît pourtant au grand jour : bite dure, longue, raide, qui repousse ma femme car trop grosse pour être gobée. J’aime vraiment découvrir ma femme, suceuse reconnue, pute amatrice, suçant et léchant un vit inconnu. Une capote apparaît à côté de l’homme : le message est entendu, et Léa la déroule avec une bouche perverse le long du gland puis de la hampe. Là encore, sans mouvement de l’homme, la suite s’impose. Léa se lève, abandonnant, sûrement à regret, la bouche lécheuse de Brett. Elle monte sur le canapé. Elle chevauche l’homme qui l’attend. En quelques secondes elle est sur lui. C’est elle qui guide le mandrin qu’elle a préparé. Il lui suffit de bouger son bassin pour que la pointe soit dans l’axe. La pointe disparaît. Elle est libre de ses mains. Elle les place sur la poitrine de l’homme. Poitrine velue mais assez svelte avec des tétons peu ...
... marqués. Je connais ce gémissement ; ce n’est pas du chiqué, ni de la simulation : Léa apprécie vraiment – pute d’un jour, salope chérie – de se laisser tomber sur la queue. Maintenant elle est assise sur les cuisses de l’homme. Elle profite. Elle apprécie. Toujours, même avec moi, il lui faut un temps d’adaptation. Un temps qu’elle utilise pour se placer, pour onduler, pour osciller autour du pieu sur lequel elle est chevillée. Mais derrière elle, quelque chose se prépare. Entièrement concentrée sur son plaisir, le plaisir de se sentir pleine d’un bâton vigoureux, elle ne voit pas. Elle ne voit pas Brett, le cul à l’air, la tige en érection et y faire rouler une capote. C’est seulement lorsqu’il se plaque contre elle qu’elle le découvre, comme si elle avait oublié sa présence. Mais il est là. Là, et bien là. En parfaite harmonie et complicité avec son patron, il avance. Sous sa pression, Léa ne peut que s’allonger sur le client. Elle est prisonnière. Mais elle ne fait aucun mouvement pour se libérer de ce qui l’attend. Elle n’est pas innocente au point de ne pas savoir… Brett se place. Sa bite trouve sa place. Il pousse. Il pousse. Déjà le gland disparaît. Il encule ma femme. Son anus est forcé. Ce n’est plus depuis longtemps un chemin ignoré, mais jamais occupé dans ces conditions. Elle ne proteste pas. Elle ne bouge pas. Femme soumise au bon vouloir de ses deux amants. Juste des gémissements. Juste des soupirs. Son con et son cul sont occupés, baisés, labourés par deux belles ...