Mal de mer - Histoires de Sexe

Mal de mer

... queues, et elle subit. Mais non, elle ne subir pas : elle aime. Que je suis aveugle au point de ne pas remarquer cette soumission volontaire ! Les deux hommes s’activent. Elle est une poupée entre leurs bras, chevillée par ces deux mandrins qui la remplissent. — Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii ! La langue maternelle revient dans ces moments-là ; mais les deux hommes comprennent que Léa va jouir. C’est tout à leur honneur de l’accompagner. Ils ne se comportent pas en clients qui baisent une pute, escort mise à leur disposition afin que leur foutre signe tout en bas du contrat. Ce sont des hommes, des amants qui apportent le plaisir a une femme. C’est beau. C’est sublime. __________________________ Léa est venue me rejoindre à l’aéroport, et nous sommes rentrés à Paris. Ni l’un ni l’autre n’avons reparlé de la croisière. Pendant quinze jours, chaque soir, Léa me demandait si j’avais une réponse. Son insistance était telle qu’elle a reconnu avoir parlé à mon patron de ma motivation pour avoir ce poste. Et puis Pierre nous invite chez lui. Invitation privée, inhabituelle mais pleine d’espoir ou de regrets. __________________________ — Ma chère Léa, permettez-moi de vous enlever votre mari une minute.— C’est vous le patron, Pierre. Il m’entraîne dans son bureau. — Asseyez-vous, John.— Merci.— J’ai préféré vous rencontrer chez moi plutôt qu’au bureau.— Pas de problème.— Je voulais vous annoncer qu’à partir de maintenant vous être nommé au poste de responsable du service commercial. « ...

... Enfin ! Je n’y croyais plus… » Léa non plus, d’ailleurs, qui devait se sentir trahie mais ne pouvait rien me dire. — Merci, patron.— Donc vous acceptez ?— Bien sûr. Qui refuserait ?— Parfait. Vous en avez les compétences. Cela fait un moment que je pensais à vous pour ce poste.— Merci.— Je ne suis pas le seul à le penser, d’ailleurs ; votre épouse a été une ambassadrice parfaite et très convaincante.— Je suis désolé qu’elle vous ait importuné sur ce point, mais jamais je ne lui aurais demandé d’intervenir.— C’est bien ce qu’elle m’a fait comprendre. Et ses talents pour vous défendre m’ont donné une idée. Voilà, je vous la soumets ; vous me direz…— Je vous en prie.— J’aimerais lui proposer de rejoindre la société pour un poste que je créerais pour elle, un poste qui dépendrait directement de moi, mais qui ferait le lien avec le service commercial. Je n’ai pas encore trouvé la dénomination, mais c’est un détail. Elle m’accompagnerait pour les gros contrats, ceux que je négocie directement et qui demandent du tact et des talents de négociateur ; Léa a tout ce qu’il faut. En plus, une présence féminine peut affaiblir le client. Comme elle devrait m’accompagner souvent et donc être absente, j’ai pensé à 10 000 € nets par mois, avec bien sûr une ligne de crédit pour ses dépenses. Un tel poste demande une belle présentation, et permettez-moi de vous dire que votre femme est un bijou et qu’un bel écrin ne peut que la mettre en valeur. Qu’en pensez-vous ? Je vous en parle avant car je ...