Mal de mer
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
bateau,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
confession,
... cela ; et en toute impartialité, je dois reconnaitre qu’il a raison. Lui et sa femme connaissent tout de mon épouse. Le déshabillage est rapide. Polo, jupette, slip. Même pas de soutien-gorge. C’est vrai que Léa n’en a pas besoin : ses seins sont des poires fermes, et tout le reste est à l’avenant. Même nue, elle est à l’aise. Commence alors le lent rhabillage. Chaque pièce trouve sa place et la rend encore plus belle. Les tailles sont parfaites. Ses seins sont soutenus, mais pas dissimulés. Le porte-jarretelles, les bas et la culotte – petit triangle juste maintenu par trois rubans – la magnifient. Anne apporte une touche délicate en attachant une fine chaîne autour de la taille et une autre autour d’une cheville. La robe la moule délicieusement. Le décolleté est profond mais élégant. Les lobes sont dorés par les quelques jours de bronzage sur la plage arrière auxquels je n’ai pas pu me joindre, mais manifestement les seins nus étaient de rigueur. La robe est à mi-cuisses, assez longue pour ne pas faire "pute", mais assez courte pour avoir envie de regarder ce qui se cache plus haut. Je bande. Merde, je bande de voir ma femme qui est inaccessible pour moi mais si belle. Anne continue son raffinement en ajoutant un collier de perles dont la blancheur resplendit sur ce fond de peau halée. Un bracelet d’or et diamants au poignet complète le tableau. Une femme du monde. Quelqu’un qui entrerait pourrait croire que la propriétaire c’est elle, et que les deux autres sont de ...
... passage. — Vous êtes magnifique ! N’est-ce pas, chérie ?— C’est vrai ; je pourrais en être jalouse… Quel compliment de la part d’Anne ! Elle qui, malgré les vingt années de plus, pourrait poser comme mannequin ! Mais nul doute que la femme du patron utilise quelques artifices, alors que ma Léa est "nature". Ma Léa modeste, mais peut-être opportuniste, renvoie l’ascenseur : — Merci. Venant de votre part, je prends cela comme un compliment. Je me souviens avoir dit à John, lors de la fête, que vous aviez un port de reine et qu’on sentait chez vous une aisance naturelle que je vous enviais.— C’est vrai ? Vraiment, Léa, plus ça va, plus je vous trouve charmante et je bénis votre mari et le mien de vous avoir mise sur mon chemin. Étrangement, Anne semble vraiment troublée. Elle est tout près de ma femme. Sa main passe dans ses cheveux, épouse l’arrondi d’une épaule, monte pour caresser une joue. Elles sont face à face. La main se saisit du menton, elle se penche, et tout naturellement Anne effleure les lèvres de ma femme avec les siennes. C’est rapide, furtif et je crois avoir rêvé. — Vous devriez enlever votre robe pour ne pas la froisser… Attendez, je vais vous aider. L’ambiance est particulière. Mon patron s’est calé dans son fauteuil et semble attendre quelque chose. Anne, en effet, aide Léa à se débarrasser de sa robe. Pourtant, si elle a parlé de ne pas la froisser, cela ne semble pas la déranger de la jeter sur une chaise. Ma femme apparaît comme un mannequin, mais un mannequin ...