Mal de mer
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
cocus,
Collègues / Travail
bateau,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
confession,
... chargé de sensualité et bien loin de ces sacs d’os. Ce qu’elle porte la rend encore plus belle, et je vois que mon patron ne la quitte pas des yeux. Mais il n’est pas le seul. Sa femme prend la mienne par la main et l’invite à s’asseoir sur un fauteuil. Elle me tourne le dos et je ne vois plus que sa tête, mais je me souviens que d’un "clic" je peux changer de caméra et me retrouver sous un angle meilleur. Mais Anne semble avoir d’autres intentions que le confort de ma femme. Le baiser, à peine effleuré de tout à l’heure, semble plus profond ; et si la bouche de la femme quitte les lèvres de Léa, c’est pour ramper vers la poitrine, puis le ventre, puis les cuisses, évitant – mais je devine que c’est un stratagème – de passer sur ce petit carré, certainement de soie, qui ne cache que ce qu’il veut bien dévoiler. Lorsqu’Anne s’empare des ficelles qui maintiennent le string en place, Léa semble étonnée. Pourtant, mais c’est probablement un réflexe, elle se soulève légèrement afin que le gramme de tissu lui soit retiré. La suite ne m’étonne qu’à moitié. J’imagine que dans le salon, là-bas, en pleine mer, l’ambiance est évidente et que les hormones saturent la pièce. Je vois clairement Anne plonger sa tête entre les cuisses de ma femme. Des cuisses qui se sont ouvertes si naturellement que cela paraît une évidence. Pourtant, jamais Léa ne m’a parlé d’expériences avec une femme. En tout cas, le spectacle est beau. Malheureusement, le micro est trop loin et je ne peux pas entendre ...
... le bruit des lèvres, de la langue qui caresse, suce, lèche et plonge dans la fente secrète. Oui, c’est beau, Léa qui petit à petit se décontracte et s’enfonce dans le fauteuil. Léa qui ferme les yeux comme pour se concentrer sur le plaisir, le plaisir qu’Anne lui apporte. Anne qui caresse les cuisses recouvertes de soie noire. Anne qui s’active. Anne dont on devine les doigts qui participent à la découverte. Des doigts qui recueillent le jus féminin qu’elle s’empresse de porter aux lèvres de Léa. Ma femme qui suce et lèche son propre jus. Ma femme dont le micro recueille les soupirs, les gémissements, les souffles. Sa jouissance est magnifique. Lente montée qui semble sans fin. Crispations annonciatrices du plaisir. Et ses cuisses qui s’ouvrent encore un peu plus avec ses mains qui collent la tête d’Anne au plus près pour la forcer à continuer jusqu’à ce que le "Ahhhhhhhhhhhhh" éclate, retentissant, dans le salon et en écho dans ma chambre. Pierre regarde. Il ne sait pas que moi aussi je regarde et que d’une certaine façon je suis excité par cette situation. Un peu – comme l’a avoué Léa – avoir joui de ces conditions si particulières. Pourtant il semble que le jeu n’est pas terminé. Anne qui se relève, enlève son short et baisse sa petite culotte pas beaucoup plus grande que celle de Léa. Ma femme comprend la demande. Elle se lève, et c’est Anne qui prend sa place. Une Anne qui s’ouvre sans honte, appelant par ce geste le "retour à l’envoyeur". C’est à ma femme de s’y coller. ...