1. Aurélie 5


    Datte: 07/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... affiche un sourire carnassier et fixe la jeune femme.Solène est totalement différente de moi. Elle est aussi rousse que je suis brune, petite, un mètre-soixante, boulotte, avec de gros seins, sans doute du quatre-vingt-quinze D, de grosses fesses et de bonnes cuisses dodues. Elle porte des lunettes qui la vieillissent, sa coiffure, bouclée ne lui donne aucun attrait et, lorsqu’on la fixe, elle détourne rapidement le regard. Serait-elle, elle aussi, une soumise qui s’ignore ?Je n’ai guère le temps de chercher des signes supplémentaires. Une voix, celle de Gérard retentit :- Ainsi, ce soir, tu es à notre entière disposition ?- Oui monsieur.- Alors, approche.Je m’approche de lui à quatre pattes. Je sais le spectacle que j’offre aux autres en avançant ainsi, et je sens l’excitation monter en moi. Il écarte les jambes et me fait signe de me placer entre elles. Je sais déjà ce qu’il va me demander.- Suce-moi, me dit-il d’une voix rauque.Je fais doucement glisser la fermeture éclair de son pantalon. Sous le tissu, je sens la dureté de son membre. Comme il porte un shorty, j’ai du mal à sortir sa queue. Je déboucle donc sa ceinture et déboutonne son pantalon, que je fais glisser, ainsi que son sous-vêtement, sue ses cuisses. Sa queue est courte, pas plus de quatorze centimètres, mais large et épaisse. Le gland est circoncis et je passe ma joue sur la douceur de sa bite. Un grognement impatient m’incite à le prendre en bouche. Il me distend presque la mâchoire mais je peux l’avaler ...
    ... jusqu’aux poils du pubis. Je salive sur la queue, la faisant coulisser entre mes lèvres disjointes. Je m’applique sur cette fellation. Gérard semble apprécier et donne des petits coups de reins révélateurs. Tout à coup, je le sens durcir encore, et soudain, il se crispe. Ma bouche s’emplit de sa semence, que je m’empresse d’avaler difficilement, tant il y en a. enfin, la source se tarit et il me repousse.- Ah la vache, ça fait du bien. Putain, elle suce bien, la salope, dit-il en se rhabillant.Sur un geste de ma maîtresse, je me dirige vers Paul et pose ma main sur sa braguette. Dessous, je sens une bosse conséquente, bien plus grosse que celle de Gérard. Là encore, je suis contrainte de retirer le pantalon et le slip. Une queue longue et fine me saute au visage, que j’embouche aussitôt. Sa bite me fait un drôle d’effet, après celle, si épaisse de Gérard. Là, je ne peux pas la prendre en entier dans ma bouche. Il reste environ trois centimètres à chaque fois que le gland heurte le fond de ma gorge. Paul ne semble pas s’en formaliser et se laisse faire. Au bout d’une dizaine de minutes, il se tend et projette au fond de ma gorge une belle quantité de sperme que je ne peux qu’avaler. C’est au tour de François de profiter de mes capacités buccales. Contrairement aux autres, il ne bande pas lorsque je le dénude. Il se laisse faire passivement et je prends en bouche sa bite molle. Il me faut quelques minutes pour parvenir à obtenir une érection qui se tienne. Quelques instants plus ...
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