1. Aurélie 5


    Datte: 07/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tard, il me lâche une grosse quantité de foutre, sans doute la plus importante des trois, dans la gorge. Là aussi, j’avale avec délice tout ce qu’il éjacule.Je passe ensuite à Solène. Lorsque je touche ses cuisses, je la sens tressaillir. J’écarte doucement ses jambes et elle se laisse faire. Je sens son regard sur moi. Lui ayant suffisamment écarté les cuisses, je glisse ma tête vers sa culotte. Sous la robe, je devine une culotte sage, bleue, tâchée au niveau du sexe, preuve qu’elle apprécie ce à quoi elle assiste. Lentement, j’approche ma bouche du tissu et je commence à sentir son odeur de femme, une odeur forte, enivrante, poivrée. Au moment où je darde ma langue pour la passer sur la tache humide, Solène se raidit, repousse ma tête et serre les cuisses en disant d’une voix tremblante :- Non… non, s’il vous plait, je ne veux pas. Laissez-moi.Interloquée, je me retire et tourne mon regard vers ma maîtresse. Celle-ci me fait signe de revenir vers elle. Je n’insiste pas et reprend ma place auprès d’elle. Pourtant, j’aurais bien aimé gougnotter Solène. Son odeur me rendait folle de désir et je sentais mon con couler sur mes cuisses, plus encore qu’avec les hommes.- Cybèle, apporte-nous le repas, dit soudain ma maîtresse.Je me levai et me dirigeai vers la cuisine afin de rapporter le buffet froid qu’on avait livré dans l’après-midi. Je ne fis aucun effort pour rabattre la jupe qui avait remonté sur mes hanches, laissant à découvert mon ventre et mes fesses. Je sentais le ...
    ... regard des hommes sur elles en entrant dans la pièce. Lorsque je revins, ce fut au tour de mon sexe rasé d’être la cible des regards lubriques. Ma chatte s’excitait et je la sentais couler. Nul doute que ces pervers devaient voir l’humidité sur mes cuisses. Je jetai un œil vers Solène, mais elle ne me regardait pas. Je m’aperçus toutefois qu’elle continuait à frotter ces cuisses l’une contre l’autre, preuve que le spectacle ne devait pas lui déplaire.Pendant qu’ils mangeaient, je me suis agenouillée aux pieds de ma maîtresse. A plusieurs reprises, la jeune femme jeta des regards vers moi, que je ne sus pas véritablement interpréter. Était-ce de l’envie, de la jalousie, de la tristesse, je n’aurais su le dire, mais elle me regardais souvent et bougeait beaucoup les fesses sur le siège. A plusieurs reprises, je surpris le regard de ma maîtresse sur Solène et j’en conçus une gêne. Elle la regardait comme elle me regardait au début de ma soumission. Était-ce cela, qu’il y avait dans le regard de la jeune femme ? De la soumission ? Qu’allait faire ma maîtresse ? Y avait-il la place pour une deuxième soumise ?Le repas continua et lorsque j’eus fini de débarrasser la table, j’obéis aux consignes que ma maîtresse m’avait données avant de m’envoyer dehors. Lentement, je me déshabillai devant les invités et je leur déclarai :- Je suis à vous, vous pouvez user de moi selon votre bon plaisir.Une fois de plus, ce fut Gérard qui prit l’initiative. Il se leva du fauteuil et se déshabilla. Les ...
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